[Alberich] Vers la redemption

[[MJ] longrange]

Lien des précédentes aventures d'Alberich.
Le village, le mutant, et le sorcier.

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Finsterbad, c'était à une cinquantaine kilomètres de ce village du Reikland que Alberich eu des rêves des plus étranges.
Après sa rencontre dans ce village, où un bien étrange mage lui avait proposer de le prendre comme apprenti, arguant qu'il avait un "potentiel". Alberich avait refuser.

Ses mains étaient teinté du sang de sa vengeance contre le répurgateur qui avait abattu ses proches, et il était peu etre encore rechercher, pour autant, il refusa ce jour la de succomber au pouvoir que lui promettait le vieil homme, un dénommée Edmund. Dit père Edmund parmi les gens de Finsterbad.

Quoi qu'il en soit, il était à présent dans une église Sigmarite en terrain sur, et vers un foyer chaleureux malgré la pluie persistante au dehors.

Le pretre Sigmarite, de l'ordre de la flamme demeurait tout même un homme bien batit dans la force de l'age dont la robe pourpre ne cachait point ses formes en "V".
Car meme un simple précheur de l'ordre de la flamme se devait d'être pret au combat.

"- Sigmar t'a placé sous sa demeure pour une bonne raison, mais la question est
: quel est elle ? "

L'homme qui l'avait réveiller avec le manche de son marteau voulait visiblement en savoir plus sur les motivations l'amenant ici avant de se prononcer plus.

"- Appelles moi frère Dietrich, et à présent que l'heure de la prière est passer intéressons nous à l'homme. Qui est tu ?

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[Alberich]

A peine réveillé, en sursaut, qu'il fallait que je réponde aux questions de l'homme étant responsable de la fin de mon sommeil. N'ayant pas vraiment retrouvé mes idées, il fallait d'abord que je me concentre pour m'apercevoir que je me trouvais en fait dans une église. Effectivement j'étais arrivé dans la nuit, à bout de force et ne voyant personne je m'étais allongé, apparemment je m'étais également assoupis. Revenons à la réalité et plus précisément à l'instant présent...

Je me redressais sur mes jambes puis je fixais du regard l'individu présent face à moi et une chose est sûr c'est que c'était une belle bête, une personne agée certes mais encore physiquement capable de faire des dégâts. Bon a première vue il n'était pas en colère de me trouver là, il me laissa entendre que je me trouvais dans la maison de Sigmar, réfléchissant rapidement je conclus vite que j'utilisais une église Sigmarite comme auberge de passage. Je pensais que c'était une drôle de coïncidence puisque je portais autour de mon cou le Symbole du créateur de l'empire. Avait il eu pitié de moi et m'aurait offert un toit? Voilà de nouvelles questions qui trottaient dans ma tête.
J'apprenais ensuite que mon interlocuteur se nommait "frère Dietrich". Ce devait être un prêtre de l'ordre. Il fallait, question de politesse, que je lui réponde.

- Je me nomme Albérich pour ma part. Hormis le fait que je cherchais un abri pour la nuit, rien ne me destinais à venir en ici.

Je restais droit devant lui attendant de voir ce qu'il allait dire, mais il fallait aussi que je fasse profile bas car j'étais l'assassin d'un de ses frères. Ou peut être qu'il valait mieux que je dise la vérité, peut être serais je gracié?!

[[MJ] longrange]

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Alberich, fut prudent. Ainsi, il préféra faire profil bas pour ne pas provoquer le courroux de l'homme Dietrich
Les paroles humbles de l'invité provoquèrent une réaction compatissante de la part de l'hôte.

"- La chaleur d'un foyer et l'abri pour la nuit est une chose. Mais il existe bien des endroits où tu aurais pu aller. Une auberge à peine une heure d'ici par exemple. "

Le prêtre s'assit sur un des bancs de pierre les plus proche de l'autel, et invita Alberich à en faire autant.

"- Rien ne te destinait à venir ici. En est tu certain ? Est tu certain que tu as pousser la porte de l'église du Sauveur de l'empire et que tu n'a rien à y faire ? "



Le ton devint insistant, sans etre trop inquisiteur. Il ne s'agissait pas d'interroger Alberich outre mesure.
Mais il sentit l'air pensif de son interlocuteur aussi il l'invita à s'exprimer.

"- Je te sens troublé mon frère. Parles, et voit si nous pouvons t'aider dans ta recherche."

[Alberich]

J'avais quelque peu omit d'informer mon interlocuteur que j'avais sentit une présence prêt de moi qui m'avait poussé à venir vers ce lieu plutôt qu'un autre. En effet alors que j'étais fatigué, épuisé, perdu je me suis saisi du symbole de Sigmar que je portais autour de mon coup depuis mon plus jeune âge et ainsi j'eus une intuition qui me conduisit au temple.

Cette pensée me revint lorsque que le prêtre continua de me questionner en cherchant à comprendre ma venue ici. Il lui semblait peu probable que je sois venu dans la demeure de Sigmar sans raison apparente alors qu'il y avait des auberges plus confortables ici et là. L'homme qui me faisait face était très perspicace, il enchaîna les paroles sur un ton insistant, calme mais pas répressif. Je pouvais sentir qu'il souhaitait me diriger vers quelque chose de précis, c'est ainsi que je repris la parole, le voyant prendre place sur un banc, pour lui expliquer les raisons réelles de ma présence.
Je portais ma main sous le morceaux de tissu qui recouvrait le haut de mon corps pour ainsi faire sortir un petite chaîne où pendait un marteau miniature.

- Effectivement je ne suis pas pour rien... Je crois que Sigmar m'a guidé vers ce lieu puisqu'il s'agit de sa maison. je ne sais pas pourquoi sachant qu'en plus il devrait être en colère contre. peut être m'a t'il tout simplement conduit devant mon bourreau?!

Ces derniers mots laissaient présager un changement de situation entre le prêtre et moi même. Forcément il allait vouloir en savoir plus, chose logique il m'incombait maintenant de réfléchir à mes prochaines paroles.

[[MJ] longrange]

Dietrich avisa avec approbation l’exhibition de l’icone de Alberich.
Par cela même, il se prouvait être un bon croyant, et en un sens craignait également sa volonté

« - La bonne enclume ne craint pas le marteau. Tu as visiblement une foi en Lui admirable, mais la culpabilité gangrène ton âme aussi surement que la rouille des objets que tu concevais. »

Il ne parut pas réfléchir bien longtemps et il l’emmena à sa suite en direction de l’intérieur du temple. Dans les extensions en profondeurs du temple sous la statue dorée du roi-Dieu l’obscurité était de mise, et rapidement Alberich dut suivre cette seul lumière au travers d’un escalier étroit.

Il passa quelque porte et l’emmena dans ce qui semblait être une simple forge. Eclairé seulement par la lumière intermittente d’un vitrail représentant la première bataille du col du feu noir scellant l’alliance des tribus hommes et des clans nains.

« - Ceci, est l’une de nos reliques. Ici même il y’a 2 siècles déjà. Hermann le défenseur, qui connu par la suite l’exaltation. Forgea la tête de son marteau. Il était fermier auparavant, et nul ne le destinait à forger un marteau de guerre. Cependant, le grand Sigmar avait des plans. Et il se révélera qu’il connu la voie des héros de l’empire. Ceux la même que nous continuons de vénéré comme des sains vivants. Et Ses véritables héritiers. »


Alberich nota que la petite forge était bien équipé et entretenu ainsi que vraisemblablement datant de plusieurs décennies au moins. Quelques barres de métal brute de différentes tailles étaient présentes, ainsi que des lanières de cuir et
Bien sur une cheminée était présente au dessus de la forge, mais le soufflet n’était d’aucune utilité pour le moment, car le foyer était éteint.

Dietrich placa des buches, et confia la torche à Alberich.

« - On forge une arme comme on forge un homme. Par le sang et le feu. »

Il désigna les outils divers, mais aucun marteau de forgeron, il devrait faire confiance à son marteau usé et rouillé par la pluie et ses trop longs voyages.

« - Tu trouveras les réponses que tu cherches ici. Si Sigmar souhaite te juger. Il te trouvera ici. »

Le prêtre s’apprêta donc à partir. Ne laissant à Alberich que sa torche comme source de lumière, et son instinct pour le guider. Seul.

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