[RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
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[RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
RP de Norman Dorgon, dans les Principautés Frontalières.
Quelque part dans les principautés frontalières, un combat rageait dans le petit royaume de Klondar au milieu d'une forêt.... le combat faisait rage un homme imposant se battant comme un lion face à un bretteur battu tombe à terre, un coup de feu éclate le bretteur s’effondre puis l'homme à la lance tomba dans un profond combat......
Norman ne sut combien de temps il resta inconscient, son corps gisait sur une civière portée par un cheval. Le mouvement de ce dernier balançait la civière sur laquelle Norman gisait, les membres attachées par des lanières de cuir. Un homme marchait à coté de lui nu, un collier de métal entourant son cou et trainé par une lourde chaine, il machait quelque chose, de temps en temps il crachait dans sa main, puis appliquait de sa paume la salive verte sur le visage de Norman. La salive piquait les plaies fraiches de la veille de ce dernier, il ne voyait plus que d'un œil, l’homme à la lourde chaine était Roy le coupe gorge. Roy cracha sa mixture de sa bouche puis s'adressa à Norman:
"- Norman, tu es blessé salement amoché, tu as perdu un œil, survit, je dit bien survit car si tu meurt je mourrait aussi....."
Norman ne put répondre, il retomba dans l'inconscience.... Il ne sut combien de temps supplémentaire il resta inconscient. Une lourde chute le réveilla en sursaut, son corps engourdi roula dans un fond d'eau, sa peau mise à ns sentait la pierre glacée le revigorer. Norman entendit alors une masse taper sur l'acier, il avait un collier d'acier autour du coup..... Désormais réveillé, il put observé ou il était, une cellule de 10 pas sur 10 composait la pièce une petite fenêtre trop petite pour faire passer un homme fermée par des barreaux mais laissant entrer l'air et la lumière éclairait la petite cellule. Car s'était bien une cellule deux grosse pierre taillée surplombaient de quelques pouces l'eau croupie, de la paille composait une sorte de lit. Norman nu grelottait de froid, il fallait atteindre cette couche. Norman entendit des chaines racler le sol puis deux bras puissants le soulevèrent et l’installèrent doucement sur la couche. Son compagnon de cellule semblait faire attention à lui..... Alors le visage de Roy apparut sur la face du visage épargnée, son compagnon lui lança en maugréant accompagné d'un sourire taciturne:
"- Non Norman, je suis pas gentil ne te méprend pas, on est dans de sales draps, deux têtes valent mieux qu'une, on est dans de sales draps! le prince nous tient....."
Quelque part dans les principautés frontalières, un combat rageait dans le petit royaume de Klondar au milieu d'une forêt.... le combat faisait rage un homme imposant se battant comme un lion face à un bretteur battu tombe à terre, un coup de feu éclate le bretteur s’effondre puis l'homme à la lance tomba dans un profond combat......
Norman ne sut combien de temps il resta inconscient, son corps gisait sur une civière portée par un cheval. Le mouvement de ce dernier balançait la civière sur laquelle Norman gisait, les membres attachées par des lanières de cuir. Un homme marchait à coté de lui nu, un collier de métal entourant son cou et trainé par une lourde chaine, il machait quelque chose, de temps en temps il crachait dans sa main, puis appliquait de sa paume la salive verte sur le visage de Norman. La salive piquait les plaies fraiches de la veille de ce dernier, il ne voyait plus que d'un œil, l’homme à la lourde chaine était Roy le coupe gorge. Roy cracha sa mixture de sa bouche puis s'adressa à Norman:
"- Norman, tu es blessé salement amoché, tu as perdu un œil, survit, je dit bien survit car si tu meurt je mourrait aussi....."
Norman ne put répondre, il retomba dans l'inconscience.... Il ne sut combien de temps supplémentaire il resta inconscient. Une lourde chute le réveilla en sursaut, son corps engourdi roula dans un fond d'eau, sa peau mise à ns sentait la pierre glacée le revigorer. Norman entendit alors une masse taper sur l'acier, il avait un collier d'acier autour du coup..... Désormais réveillé, il put observé ou il était, une cellule de 10 pas sur 10 composait la pièce une petite fenêtre trop petite pour faire passer un homme fermée par des barreaux mais laissant entrer l'air et la lumière éclairait la petite cellule. Car s'était bien une cellule deux grosse pierre taillée surplombaient de quelques pouces l'eau croupie, de la paille composait une sorte de lit. Norman nu grelottait de froid, il fallait atteindre cette couche. Norman entendit des chaines racler le sol puis deux bras puissants le soulevèrent et l’installèrent doucement sur la couche. Son compagnon de cellule semblait faire attention à lui..... Alors le visage de Roy apparut sur la face du visage épargnée, son compagnon lui lança en maugréant accompagné d'un sourire taciturne:
"- Non Norman, je suis pas gentil ne te méprend pas, on est dans de sales draps, deux têtes valent mieux qu'une, on est dans de sales draps! le prince nous tient....."
[MJ] L'Architecte Déchu- Admin
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Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
Son corps nu perlant de sueur tant la douleur lui déchirant la tête était acerbe, le géant plongé dans une demi inconscience entrevoyait parfois des bribes d’images ainsi que des sons venants s’encrer dans l’antre de son crâne. Ceux-ci résonnaient avec force, et semblaient pourfendre sa tête en deux alors que le carrosse qui le conduisait dieu sait où le baladait tel une charrue. Chaque pierre et chaque trou dans le sol croisant le chemin du bourriquet amplifiait nettement la douleur du blessé qui semblait bien mal en point. Il aurait voulu hurler sa douleur … mais sa voix ne laissait s’extirper rien de plus que de légers bougonnements incompréhensible.
Combien de temps fut il trainé ainsi ?... Il n’en savait absolument rien. Mais durant un bref instant de lucidité, l’improbable se présenta à ses yeux. Roy, l’homme inébranlable du groupe qui l’avait initié à bien des tâches dans le dur métier qu’ils exerçaient se tenait devant lui. Et là, en quelques secondes, il comprit le dénouement de cette bataille qui l’avait amenée dans cet état de faiblesse tellement douloureux. Le valeureux guerrier qu’était Roy se retrouvait accoutré de la façon la plus humiliante que ce genre de gaillard aurait pu connaitre, cet accoutrement était celui des esclaves.
L’homme mastiquait sans relâche, et en semblait pas avoir encore remarqué que l’acolyte qui l’accompagnait dans cette épreuve terrifiante avait reprit connaissance. Le cliquetis des chaines le paralysant totalement fit comprendre qu’à partir de maintenant, ils se trouvaient de l’autre coté de la barrière, et ne semblaient plus maitres de leur destin. Roy cracha alors au creux de sa main et se tourna vers le géant qui le fixait intensément … Il réalisa que Noman avait reprit connaissance et commença à appliquer alors la mixture malodorante venant d’être cracher sur le visage du guerrier, ce qui lui arracha un gémissement bien malgré lui, il n’avait jamais connu de telle douleur.
« Norman, tu es salement amoché, tu as perdu un œil, survit, je dis bien survis car si tu meurs je mourrai aussi..... »
Un œil ?... C’est tout ce qui sonna à l’oreille du grand gaillard … Celui-ci revit la lame du bretteur s’abattre si vite sur son visage qu’il ne put même pas réagir. Tout commença à se flouter autour de lui, et bien rapidement le noir total se fut, le laissant seul en compagnie de cette douleur mortelle. Bientôt, il ne ressentit plus rien et tomba dans une inconscience totale.
***
La face du borgne s’écrasa lourdement sur un sol humide, faisant pénétrer en tout pore de sa peau un froid intense alors qu’une odeur putride s’installa à l’intérieur de ses narines. Sous le choc thermique, Norman commença à inspirer avec force, tel un homme manquant d’air et avala au passage un peu d’eau dont le gout indéfinissable provoqua le vomissement immédiat du grand gaillard. Ouvrant son œil unique, il aperçut ce qui devait être la paillasse, soit un simple tas de paille. Gigotant en essayant de s’en approcher, le gaillard entendu alors le cliquetis d’acier que la masse autour de son cou faisait, c’est de cette façon qu’il réalisa que lui aussi était maintenant un esclave. Son état de faiblesse ainsi que l’engourdissement parcourant ses membres dut au froid extrême du sol firent qu’il n’avança pas d’un poil au cour de cette lutte pour atteindre l’endroit semblant être le plus confortable.
S’abandonnant à l’idée de mourir, le rude gaillard entendit de nouveau cliquetis s’approcher en sa direction. Là, il sentit deux mains froides comme la pierre constituant le sol l’arracher de celui-ci et l’amener sur la paille. Ayant entendu les chaines, l’esclavagiste comprit qu’il s’agissait sans doute d’un autre prisonnier. Le temps de reprendre ses esprits et d’assimiler sa nouvelle condition, l’homme fit de nouveau face à Roy dont un sourire quelque peu forcer semblait avoir été cloué sur ses lèvres. Norman savait qu’il voulait toujours avoir l’air de contrôler les choses, mais cette fois, il fallait avouer qu’ils étaient vraiment dans de beaux draps.
« Non Norman, je suis pas gentil ne te méprend pas, on est dans de sales draps, deux têtes valent mieux qu'une, on est dans de sales draps! le prince nous tient..... »
Le borgne qui jusqu’à là s’était concentré sur les restes de la bataille se rappela aussi ce qu’il l’avait causé. Tremblant encore passablement à cause du froid, il se mit à rire légèrement… mais la sensation de pointes que l’on enfoncerait à coup de marteau qui étreignit instantanément son crâne le calma bien rapidement.
« N’empêche … notre plan était vraiment super …, chacun de ses mots faisaient échos dans sa tête, et cette fille … jamais vu une chienne autant se débattre, rien que pour ça, ça valait le coup de se prendre pareille dérouillée. »
Norman ferma son œil et se revit posséder la jeune princesse devant les rires de ses compagnons attendant leur tour. Pendant quelques instants, l’homme s’évada, mais bien trop peu de temps à son gout. Il déglutit très difficilement avant de reprendre.
« Tu t’en sors pas mal mon salaud, railla t’il alors en se rendant compte que son équipier ne semblait pas bien amocher, ne me dit pas que nous sommes les deux seuls survivants de la bande ? Et puis merde, il est arrivé quoi au gaillard qui m’a foutu dans c’t état, j’ai du halluciner, j’l’ai vu prendre feu c’te naze. »
Malgré le ton bon enfant du géant, chaque mots étaient une épreuve tant il était douloureux de parler. Mais il était hors de question pour lui de laisser quoi ce soit transparaitre.
S’abandonnant à l’idée de mourir, le rude gaillard entendit de nouveau cliquetis s’approcher en sa direction. Là, il sentit deux mains froides comme la pierre constituant le sol l’arracher de celui-ci et l’amener sur la paille. Ayant entendu les chaines, l’esclavagiste comprit qu’il s’agissait sans doute d’un autre prisonnier. Le temps de reprendre ses esprits et d’assimiler sa nouvelle condition, l’homme fit de nouveau face à Roy dont un sourire quelque peu forcer semblait avoir été cloué sur ses lèvres. Norman savait qu’il voulait toujours avoir l’air de contrôler les choses, mais cette fois, il fallait avouer qu’ils étaient vraiment dans de beaux draps.
« Non Norman, je suis pas gentil ne te méprend pas, on est dans de sales draps, deux têtes valent mieux qu'une, on est dans de sales draps! le prince nous tient..... »
Le borgne qui jusqu’à là s’était concentré sur les restes de la bataille se rappela aussi ce qu’il l’avait causé. Tremblant encore passablement à cause du froid, il se mit à rire légèrement… mais la sensation de pointes que l’on enfoncerait à coup de marteau qui étreignit instantanément son crâne le calma bien rapidement.
« N’empêche … notre plan était vraiment super …, chacun de ses mots faisaient échos dans sa tête, et cette fille … jamais vu une chienne autant se débattre, rien que pour ça, ça valait le coup de se prendre pareille dérouillée. »
Norman ferma son œil et se revit posséder la jeune princesse devant les rires de ses compagnons attendant leur tour. Pendant quelques instants, l’homme s’évada, mais bien trop peu de temps à son gout. Il déglutit très difficilement avant de reprendre.
« Tu t’en sors pas mal mon salaud, railla t’il alors en se rendant compte que son équipier ne semblait pas bien amocher, ne me dit pas que nous sommes les deux seuls survivants de la bande ? Et puis merde, il est arrivé quoi au gaillard qui m’a foutu dans c’t état, j’ai du halluciner, j’l’ai vu prendre feu c’te naze. »
Malgré le ton bon enfant du géant, chaque mots étaient une épreuve tant il était douloureux de parler. Mais il était hors de question pour lui de laisser quoi ce soit transparaitre.
- Spoiler:
- Et bien ... voila qui commence fort ^^
PS : Pourrais tu me faire L'XP au poste ? J'aime bien cette façon de faire =)
Norman Dorgon- Admin
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Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
« N’empêche … notre plan était vraiment super …, chacun de ses mots faisaient échos dans sa tête, et cette fille … jamais vu une chienne autant se débattre, rien que pour ça, ça valait le coup de se prendre pareille dérouillée. »
Roy ria avec sarcasme puis rétorqua:
"- Hum oui, vu ce que le père va sans doute nous faire en découvrant sa fille déflorée m'est avis que je dois en prendre pour mon compte et me satisfaire de ce dernier moment avec une femme.... Mais je pense que ça va trainer quelques temps, ils doivent décider de notre sort......."
« Tu t’en sors pas mal mon salaud, railla t’il alors en se rendant compte que son équipier ne semblait pas bien amocher, ne me dit pas que nous sommes les deux seuls survivants de la bande ? Et puis merde, il est arrivé quoi au gaillard qui m’a foutu dans c’t état, j’ai du halluciner, j’l’ai vu prendre feu c’te naze. »
Roy cessa de rire un instant, pris la main de Norman..... puis lui fit sentir son cuir chevelu, les cheveux étaient poisseux de sang coagulé, une énorme bosse avait pousser au niveau de son occiput.... puis rétorqua sèchement:
"- Attaqué par derrière les lâches! J'aurais bien voulut mourir mais ce devait pas être mon jour, et non nous ne sommes pas seuls, il doit en rester 6 environs..... Hum vu les conditions dans lesquelles nous sommes m'est avis qu'on va finir comme ceux qu'on chassait ou pire au gibet et sans sommation....."
Roy lâcha la main de Norman, se leva puis s'allongea sur la couche face à Norman, il réfléchit un instant puis lança:
"- Fuir d'ici nu c'est disons inconfortable surtout qu'on ne sait où nous sommes, sans armes on ira pas loin...... Reposons nous veux-tu on va avoir besoin de forces à mon avis, tu as peut être d'autres sujétions?"
Roy ria avec sarcasme puis rétorqua:
"- Hum oui, vu ce que le père va sans doute nous faire en découvrant sa fille déflorée m'est avis que je dois en prendre pour mon compte et me satisfaire de ce dernier moment avec une femme.... Mais je pense que ça va trainer quelques temps, ils doivent décider de notre sort......."
« Tu t’en sors pas mal mon salaud, railla t’il alors en se rendant compte que son équipier ne semblait pas bien amocher, ne me dit pas que nous sommes les deux seuls survivants de la bande ? Et puis merde, il est arrivé quoi au gaillard qui m’a foutu dans c’t état, j’ai du halluciner, j’l’ai vu prendre feu c’te naze. »
Roy cessa de rire un instant, pris la main de Norman..... puis lui fit sentir son cuir chevelu, les cheveux étaient poisseux de sang coagulé, une énorme bosse avait pousser au niveau de son occiput.... puis rétorqua sèchement:
"- Attaqué par derrière les lâches! J'aurais bien voulut mourir mais ce devait pas être mon jour, et non nous ne sommes pas seuls, il doit en rester 6 environs..... Hum vu les conditions dans lesquelles nous sommes m'est avis qu'on va finir comme ceux qu'on chassait ou pire au gibet et sans sommation....."
Roy lâcha la main de Norman, se leva puis s'allongea sur la couche face à Norman, il réfléchit un instant puis lança:
"- Fuir d'ici nu c'est disons inconfortable surtout qu'on ne sait où nous sommes, sans armes on ira pas loin...... Reposons nous veux-tu on va avoir besoin de forces à mon avis, tu as peut être d'autres sujétions?"
[MJ] L'Architecte Déchu- Admin
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Age : 48
Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
Dernier moment avec une femme … c’était ce que disait Roy, Norman n’y avait pas vraiment songé. Son regard se dispersa quelque peu à cette sordide idée, imaginer de ne plus ne serait-ce qu’effleurer une peau douce féminine lui semblait irréelle tant il aimait ça.
« J’espère pas qu’t’ai raison mon ami, conclut il sommairement pour ne pas trop ressentir de douleur, mais j’t’avoue que si cette chienne a été retrouvée vivante j’donne pas chère d’notre peau. »
Norman leva le regard en l’air et observa le plafond parcouru par de petites araignées, imaginant quelques odieux supplices auxquels ils pourraient être soumis pour les monstruosités qu’ils avaient commis sur cette jeune femme aux longs cheveux bouclés lui rappelant les vastes champs de blés lorsque ceux-ci étaient doucement bercés par la fine bise soufflant dans la plaine dans laquelle elle fut capturée. Une véritable beauté, et encore, c’était peu dire, mais son visage angélique fut bien vite transformé en un faciès torturé après qu’elle ait pu gouter à la plus pure cruauté.
Le géant fut sortit de ses pensées par la main qui étreignit la sienne. Roy la guida jusqu’à l’arrière de son crâne pour lui faire découvrir une large bosse extrêmement bombé, une blessure impressionnante. L’homme resta de marbre face au châtiment qui avait frappé son amis, ils n’étaient pas du genre à pleurer sur leur sort, comme tout guerrier se respectant devrait le faire selon Norman. Lorsque la pression cessa, le borgne ramena sa main et découvrit au creux de la paume de celle-ci du sang quasiment noir, lui indiquant qu’il était coagulé ce qui était une bonne chose selon lui, au moins le saignement avait arrêté.
"- Attaqué par derrière les lâches! J'aurais bien voulut mourir mais ce devait pas être mon jour, et non nous ne sommes pas seuls, il doit en rester 6 environs..... Hum vu les conditions dans lesquelles nous sommes m'est avis qu'on va finir comme ceux qu'on chassait ou pire au gibet et sans sommation....."
Oui … ils auraient du mourir sur le champ de bataille, ça aurait été bien plus glorieux et probablement bien moins douloureux. Le peu de ses compagnons ayant survécu fit prendre conscience au jeune homme de la boucherie qui avait eut lieu au camp. Norman, bien qu’ayant emporté avec lui bon nombres d’ennemis était très rapidement tombé sur plus fort que lui, et n’avait jusqu’à là aucune idée qu’un tel carnage avait eu lieu. Sa bouche s’ouvrit doucement mais avant que le moindre son n’en sorte, Roy qui s’était maintenant joint à lui sur la paillasse reprit :
"- Fuir d'ici nu c'est disons inconfortable surtout qu'on ne sait où nous sommes, sans armes on ira pas loin...... Reposons nous veux-tu on va avoir besoin de forces à mon avis, tu as peut être d'autres sujétions?"
Norman acquiesça d’un hochement de tête pour montrer qu’aucune idée ne lui venait non plus. Ses yeux restèrent fixés un léger moment sur la porte de leur geôle, le vide s’était fais dans sa tête, bercé par quelques bruits typique que l’on pouvait entendre dans les cachots. L’eau s’extrayant de légers interstices du plafond goutant dans la flaque putride, le bruit de chaine se choquant …
Après un moment, Norman décida qu’il valait mieux repérer les lieux, et malgré ses blessures, il se sentait capable de se lever. Il vérifia tout de même que ses jambes lui commandaient toujours en faisant bouger ses doigts de pied sous son regard inquisiteur. Une fois le contrôle effectué, celui-ci entreprit la dure tâche qu’était de se lever dans son état pour vérifier ce qu’il pouvait apercevoir de la petite fenêtre laissant pénétrer le peu de lumière dans leur futur qui s’annonçait des plus ténébreux.
« J’espère pas qu’t’ai raison mon ami, conclut il sommairement pour ne pas trop ressentir de douleur, mais j’t’avoue que si cette chienne a été retrouvée vivante j’donne pas chère d’notre peau. »
Norman leva le regard en l’air et observa le plafond parcouru par de petites araignées, imaginant quelques odieux supplices auxquels ils pourraient être soumis pour les monstruosités qu’ils avaient commis sur cette jeune femme aux longs cheveux bouclés lui rappelant les vastes champs de blés lorsque ceux-ci étaient doucement bercés par la fine bise soufflant dans la plaine dans laquelle elle fut capturée. Une véritable beauté, et encore, c’était peu dire, mais son visage angélique fut bien vite transformé en un faciès torturé après qu’elle ait pu gouter à la plus pure cruauté.
Le géant fut sortit de ses pensées par la main qui étreignit la sienne. Roy la guida jusqu’à l’arrière de son crâne pour lui faire découvrir une large bosse extrêmement bombé, une blessure impressionnante. L’homme resta de marbre face au châtiment qui avait frappé son amis, ils n’étaient pas du genre à pleurer sur leur sort, comme tout guerrier se respectant devrait le faire selon Norman. Lorsque la pression cessa, le borgne ramena sa main et découvrit au creux de la paume de celle-ci du sang quasiment noir, lui indiquant qu’il était coagulé ce qui était une bonne chose selon lui, au moins le saignement avait arrêté.
"- Attaqué par derrière les lâches! J'aurais bien voulut mourir mais ce devait pas être mon jour, et non nous ne sommes pas seuls, il doit en rester 6 environs..... Hum vu les conditions dans lesquelles nous sommes m'est avis qu'on va finir comme ceux qu'on chassait ou pire au gibet et sans sommation....."
Oui … ils auraient du mourir sur le champ de bataille, ça aurait été bien plus glorieux et probablement bien moins douloureux. Le peu de ses compagnons ayant survécu fit prendre conscience au jeune homme de la boucherie qui avait eut lieu au camp. Norman, bien qu’ayant emporté avec lui bon nombres d’ennemis était très rapidement tombé sur plus fort que lui, et n’avait jusqu’à là aucune idée qu’un tel carnage avait eu lieu. Sa bouche s’ouvrit doucement mais avant que le moindre son n’en sorte, Roy qui s’était maintenant joint à lui sur la paillasse reprit :
"- Fuir d'ici nu c'est disons inconfortable surtout qu'on ne sait où nous sommes, sans armes on ira pas loin...... Reposons nous veux-tu on va avoir besoin de forces à mon avis, tu as peut être d'autres sujétions?"
Norman acquiesça d’un hochement de tête pour montrer qu’aucune idée ne lui venait non plus. Ses yeux restèrent fixés un léger moment sur la porte de leur geôle, le vide s’était fais dans sa tête, bercé par quelques bruits typique que l’on pouvait entendre dans les cachots. L’eau s’extrayant de légers interstices du plafond goutant dans la flaque putride, le bruit de chaine se choquant …
Après un moment, Norman décida qu’il valait mieux repérer les lieux, et malgré ses blessures, il se sentait capable de se lever. Il vérifia tout de même que ses jambes lui commandaient toujours en faisant bouger ses doigts de pied sous son regard inquisiteur. Une fois le contrôle effectué, celui-ci entreprit la dure tâche qu’était de se lever dans son état pour vérifier ce qu’il pouvait apercevoir de la petite fenêtre laissant pénétrer le peu de lumière dans leur futur qui s’annonçait des plus ténébreux.
- Spoiler:
- Donc Norman étant bien plus grand que la moyenne de ses congénères, j’imagine qu’il pourra zieuté un peu ce qu’il se passe à l’extérieur. Il se lève et essaye de jeter un œil ( sans jeu de mot bien sûr ) par la fenêtre pour voir ce qu’il s’y passe. Il tendra aussi un peu l’oreille histoire de voir s’il arrive à intercepter une quelconque conversation. Si rien de bien croustillant lui parvient il rejoint son compagnon dans la paille et prend du repos en attendant de voir ce qu’il va se passer pour eux.
Dernière édition par [MJ] L'Architecte Déchu le Dim 27 Fév - 18:58, édité 1 fois (Raison : XP: 7+5 => Cumul 12)
Norman Dorgon- Admin
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Age : 35
Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
- Spoiler:
- XP= 7+5 => cumul 12XP
Jet Endurance: E=12 => réussit
Norman pu constater que ses jambes pouvait le supporter, son corps se remettait doucement mais surement. Il se leva donc et entreprit de regarder par la petite lucarne. Il faisait jour à l'extérieur, cependant il ne pouvait que voir un carré du paysage la fenêtre ouvrant sur le sol de la cour en pavé. Des bâtiments de pierre entouraient la cour, elle semblait imposante vu de la fenêtre. Deux charrettes et une dizaine d'hommes arriva, ils déchargèrent le bois et lancèrent la construction d'une estrade d'autre œuvraient à la confection d'une estrade.... On organisait quelque chose dans la cour mais quoi? L'estrade fut montée en une matinée, la pause de midi vit un calme angoissant dans la petite cellule. Roy dormait il exécutait son plan à la perfection. La chaleur de l'après midi apporta une douceur dans l'air ambiant de la cellule, ce qui fit le plus grand bien au deux prisonniers. En milieu de journée, Norman et Roy purent entendre un nouvelle charrette arriver, les hommes descendirent alors ce qui semblait être un morceau d'acier, le bruit métallique tombant sur la pierre puis raclant cette dernière en dit long sur les travaux qui s'effectuaient à l'extérieur. Roy revigoré pas le repos et la chaleur ambiante se leva et alla regarder à la fenêtre puis hurla:
"- Norman les carrottes sont cuites pour nous, c'est pas un gibet qu'ils nous préparent, c'est un échafaud! On va perdre notre tête camarade! Morr ne nous recevra sans doute pas dans son monde....."
Roy descendit alors de sa position puis alla s'assoir sur sa couche, sa tête entre ses mains......
Dernière édition par [MJ] L'Architecte Déchu le Jeu 3 Mar - 16:45, édité 3 fois
[MJ] L'Architecte Déchu- Admin
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Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
Gardant une main bien ancrée sur le sol de pierre glacée chargé de foin au cas où ses jambes ne puissent le supporter, le borgne se tint bientôt accroupi, ses doigts de pieds s’enfonçant légèrement dans le foin. Après une profonde aspiration, le grand gabarie se déploya de tout son long ses immenses jambes, et en quelques instants il se retrouva debout. Le sang battait à tout rompre contre ses tempes, et la douleur qui s’était atténué revint en force. Néanmoins, son corps ne céda pas, et le grand gaillard resta sur ses appuis en plaquant la pomme de sa main droite contre sa tempe pour calmer un tant soit peu l’afflue de sang qui inondait son cerveau.
Après quelques instants ou le grand corps ne bougea pas d’un poil, Norman entreprit avec un pas peu sure son avancé vers la petite lucarne de laquelle infusait la lumière diffuse du soleil. Enfin, il put voir ce qu’il se passait à l’extérieur de cette étroite pièce.
Ils étaient, comme le pensait l’esclavagiste, probablement retenus aux sous sols d’un bâtiment fortifié servant de demeure au seigneur de ces terres. Une cour passablement immense vue d’ici se dressait face au prisonnier, il put découvrir une architecture de pierre taillée à même la roche des montagnes comme on le voit assez souvent dans les principautés frontalières. Quelques passants venaient ici et là, mais aucune rumeur intéressante ne parvint à Norman pendant un léger moment. Alors qu’il perdait patience, deux chariotes arrivèrent passablement chargées. Une poignée d’homme commença à en extraire la marchandise, principalement constituée de bois, tandis que d’autres s’affairaient autour d’une construction. Le borgne, bien installé avec ses deux coudes installés sur le rebord de la lucarne, les observa un moment.
Son esprit s’égara un instant, réfléchissant à un moyen de sortir de cet endroit. Mais il avait beau observer la pièce, ses murs étaient bien trop solides pour les outrepasser. Peut être pourrait ils payer en pots de vin et esclaves le seigneur de ses terres ? D’un hochement il effaça cette idée. Au vue de l’armée qu’il leur avait envoyée pour une simple histoire de fesse, le crime resterait difficilement impuni. Que lui restait-il dans ce cas ? Les yeux plongés dans le vague, Norman n’en avait aucune idée, à par la corruption, il ne connaissait pas grand-chose à la diplomatie. Alors que la construction s’avéra être une estrade, ce qui fit perdre tout intérêt d’observer la scène à l’homme, Norman se recoucha sur la paillasse. Attendre … il n’avait que ça finalement …
Allongé sur le dos, le géant ne parvint pas à trouver le sommeil alors que son compagnon de cellule laissait s’extirper de vagues ébauche de mots arrachés à ses rêves. Un silence complet s’installa dans la cellule, les coups de maillets n’arrivaient plus jusqu’aux oreilles du borgne, il semblait que la construction était terminée. Les yeux rivés dans le vague, le silence impénétrable mit mal à l’aise le gaillard qui commença à siffloter des airs joyeux pour meubler avec ce compagnon désagréable.
Roy finit par se réveiller au cour de l’après midi, la ville croulait sous une vague de chaleur inébranlable. On aurait pu faire cuire des œufs sur le sol pavé, Norman en était sûre alors qu’il jetait un œil à l’extérieur ou rien de bien intéressant ne se passait. Lui et son compagnon attendirent donc ensemble dans le silence toujours omniprésent, que pouvait-il faire d’autre ?
Enfin, après des heures d’attentes interminables, des nouveaux sabots tambourinant le sol se firent entendre dans la cellule. Norman qui avait enfin trouvé un semblant de sommeil quelque peu agité, fut extirpé violemment de celui-ci lorsqu’un morceau de métal trainé laissa éclater un bruit crissant résonnant avec force dans la cellule. Se retournant brusquement, Norman pu voir Roy les yeux écarquillés face au petit espace leur laissant vu sur la place. Norman n’eut pas le temps de commencer à se lever qu’un éclat de voix de son compagnon envahissait la pièce.
"- Norman les carottes sont cuites pour nous, c'est pas un gibet qu'ils nous préparent, c'est un échafaud! On va perdre notre tête camarade! Morr ne nous recevra sans doute pas dans son monde....."
Et sans plus de cérémonie, il s’effondra sur la couche cachant son visage avec soin. Norman en était pas sure mais il aurait dit qu’il pleurait… Ils allaient donc finalement mourir.
Même si il s’en doutait, l’idée ne lui avait jamais parue aussi réelle maintenant que l’appareil du bourreau était en place. Le vide engourdissait quelques instants l’esclavagiste qui sentit ces forces le quitter légèrement. La mort fait peur au plus fier guerrier lorsque celle-ci est connue. En quelques secondes, la sensation de vide et de faiblesse se transforma en tout autre chose.
« Non … non … non … Sans plus de mots, le géant était debout, les pupilles rétractées comme un prédateur prêt à sauter sur sa proie. IL EST HORS DE QUESTION QUE JE CRÊVE COMME CA ! »
Tous se passa rapidement, en deux pas le géant se trouva face à la porte de bois les retenant prisonnier et commença à tambouriner comme un homme qui aurait perdu raison. Les chaines lui entravant les poignés cognaient avec force contre la porte alors que Norman hurlait avec force ces mots.
« OUVREZ MOI CA TOUT DE SUITE, J’VAIS TOUS VOUS CREVEZ BANDE DE MERDE. ALLEZ VENEZ VOIR UN PEU BANDE DE PUCELLE, JE VAIS VOUS MONTRER CE QU’UN MALE PEUT FAIRE !!! OUVREZ ... OUVREZ CT'E PUTAIN DE PORTE ... OUVREZ !!!!»
Norman n’avait jamais ressenti une telle peur dans ses entrailles, et la rage qui en découlait était tout à fait exceptionnelle. Les plus preux chevaliers s’inclinent devant la mort, Norman lui n’est pas encore prêt à accepter ce fait. Il ne mourrait pas en prisonnier, s’il devait mourir ce serait en homme.
Les chaines l’entravant commencèrent à marquer les poignés de l’homme à sang alors que la peau sur ses mains sautait à vue d’œil tant il donnait des coups monstrueux sous le coup de la rage.
Après quelques instants ou le grand corps ne bougea pas d’un poil, Norman entreprit avec un pas peu sure son avancé vers la petite lucarne de laquelle infusait la lumière diffuse du soleil. Enfin, il put voir ce qu’il se passait à l’extérieur de cette étroite pièce.
Ils étaient, comme le pensait l’esclavagiste, probablement retenus aux sous sols d’un bâtiment fortifié servant de demeure au seigneur de ces terres. Une cour passablement immense vue d’ici se dressait face au prisonnier, il put découvrir une architecture de pierre taillée à même la roche des montagnes comme on le voit assez souvent dans les principautés frontalières. Quelques passants venaient ici et là, mais aucune rumeur intéressante ne parvint à Norman pendant un léger moment. Alors qu’il perdait patience, deux chariotes arrivèrent passablement chargées. Une poignée d’homme commença à en extraire la marchandise, principalement constituée de bois, tandis que d’autres s’affairaient autour d’une construction. Le borgne, bien installé avec ses deux coudes installés sur le rebord de la lucarne, les observa un moment.
Son esprit s’égara un instant, réfléchissant à un moyen de sortir de cet endroit. Mais il avait beau observer la pièce, ses murs étaient bien trop solides pour les outrepasser. Peut être pourrait ils payer en pots de vin et esclaves le seigneur de ses terres ? D’un hochement il effaça cette idée. Au vue de l’armée qu’il leur avait envoyée pour une simple histoire de fesse, le crime resterait difficilement impuni. Que lui restait-il dans ce cas ? Les yeux plongés dans le vague, Norman n’en avait aucune idée, à par la corruption, il ne connaissait pas grand-chose à la diplomatie. Alors que la construction s’avéra être une estrade, ce qui fit perdre tout intérêt d’observer la scène à l’homme, Norman se recoucha sur la paillasse. Attendre … il n’avait que ça finalement …
Allongé sur le dos, le géant ne parvint pas à trouver le sommeil alors que son compagnon de cellule laissait s’extirper de vagues ébauche de mots arrachés à ses rêves. Un silence complet s’installa dans la cellule, les coups de maillets n’arrivaient plus jusqu’aux oreilles du borgne, il semblait que la construction était terminée. Les yeux rivés dans le vague, le silence impénétrable mit mal à l’aise le gaillard qui commença à siffloter des airs joyeux pour meubler avec ce compagnon désagréable.
Roy finit par se réveiller au cour de l’après midi, la ville croulait sous une vague de chaleur inébranlable. On aurait pu faire cuire des œufs sur le sol pavé, Norman en était sûre alors qu’il jetait un œil à l’extérieur ou rien de bien intéressant ne se passait. Lui et son compagnon attendirent donc ensemble dans le silence toujours omniprésent, que pouvait-il faire d’autre ?
Enfin, après des heures d’attentes interminables, des nouveaux sabots tambourinant le sol se firent entendre dans la cellule. Norman qui avait enfin trouvé un semblant de sommeil quelque peu agité, fut extirpé violemment de celui-ci lorsqu’un morceau de métal trainé laissa éclater un bruit crissant résonnant avec force dans la cellule. Se retournant brusquement, Norman pu voir Roy les yeux écarquillés face au petit espace leur laissant vu sur la place. Norman n’eut pas le temps de commencer à se lever qu’un éclat de voix de son compagnon envahissait la pièce.
"- Norman les carottes sont cuites pour nous, c'est pas un gibet qu'ils nous préparent, c'est un échafaud! On va perdre notre tête camarade! Morr ne nous recevra sans doute pas dans son monde....."
Et sans plus de cérémonie, il s’effondra sur la couche cachant son visage avec soin. Norman en était pas sure mais il aurait dit qu’il pleurait… Ils allaient donc finalement mourir.
Même si il s’en doutait, l’idée ne lui avait jamais parue aussi réelle maintenant que l’appareil du bourreau était en place. Le vide engourdissait quelques instants l’esclavagiste qui sentit ces forces le quitter légèrement. La mort fait peur au plus fier guerrier lorsque celle-ci est connue. En quelques secondes, la sensation de vide et de faiblesse se transforma en tout autre chose.
« Non … non … non … Sans plus de mots, le géant était debout, les pupilles rétractées comme un prédateur prêt à sauter sur sa proie. IL EST HORS DE QUESTION QUE JE CRÊVE COMME CA ! »
Tous se passa rapidement, en deux pas le géant se trouva face à la porte de bois les retenant prisonnier et commença à tambouriner comme un homme qui aurait perdu raison. Les chaines lui entravant les poignés cognaient avec force contre la porte alors que Norman hurlait avec force ces mots.
« OUVREZ MOI CA TOUT DE SUITE, J’VAIS TOUS VOUS CREVEZ BANDE DE MERDE. ALLEZ VENEZ VOIR UN PEU BANDE DE PUCELLE, JE VAIS VOUS MONTRER CE QU’UN MALE PEUT FAIRE !!! OUVREZ ... OUVREZ CT'E PUTAIN DE PORTE ... OUVREZ !!!!»
Norman n’avait jamais ressenti une telle peur dans ses entrailles, et la rage qui en découlait était tout à fait exceptionnelle. Les plus preux chevaliers s’inclinent devant la mort, Norman lui n’est pas encore prêt à accepter ce fait. Il ne mourrait pas en prisonnier, s’il devait mourir ce serait en homme.
Les chaines l’entravant commencèrent à marquer les poignés de l’homme à sang alors que la peau sur ses mains sautait à vue d’œil tant il donnait des coups monstrueux sous le coup de la rage.
Norman Dorgon- Admin
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Date d'inscription : 21/02/2011
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Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
« OUVREZ MOI CA TOUT DE SUITE, J’VAIS TOUS VOUS CREVEZ BANDE DE MERDE. ALLEZ VENEZ VOIR UN PEU BANDE DE PUCELLE, JE VAIS VOUS MONTRER CE QU’UN MALE PEUT FAIRE !!! OUVREZ ... OUVREZ CT'E PUTAIN DE PORTE ... OUVREZ !!!!»
Personne ne répondit aux propos de Norman, Roy continuait quand à lui à se tenir la tête dans ses mains, il ne disait plus un mot...; Les ouvriers finirent leur œuvre en montant la lame sur deux poutres à la verticale, un système de cordage et une poulie la maintenait en l'air. Deux bastaings de chaque coté la guidait vers sa cible, le futur cou de ses victimes. En fin d'après midi l'estrade pour les spectateurs fut terminée.... Roy et Norman passèrent ce qui semblait être leur dernière nuit de vivant, le froid et l'humidité s'installèrent dans le cachot. Roy tournait en rond dans la geôle ses pieds claquant dans l'eau croupie de la cellule.
Il en fut ainsi jusqu'au petit matin, l'aube se lève, la cellule donne toute la mesure de la déchéance dans laquelle Roy et Norman sont tombés, il ne leur reste plus que quelques instants parmi les vivants. Au dehors les gens s'affairent, la garde se met en place sur la grand place, le bourreau prépare son ouvrage et le teste sur une buche. La lame tranchante et effilée sectionne d'un coup la buche celle-ci sous le choc s'envole pour retomber plus loin sur le pavé. Les gens s’installent sur l’estrade, du moins ceux de bonne naissance les gueux restant sur la place pavée profitant d'un spectacle trop rare. Puis le moment arriva, le prince accompagné de sa fille déflorée et abusée s'installe en haut de l'estrade, d'un geste il commande à sa garde le début de la procession morbide.
Le moment arrive, la garde parcoure les couloirs en traitant des chaines, des hurlements de protestation s'élèvent dans les geôles. Norman reconnait la voix de ses compagnons, mais il n'eut pas le temps de savoir qui tenait tête à l'autre, car on coulissa une barre d'acier au niveau de leur porte, puis quatre gardes entrèrent dans la cellule armés de chaines, quatre autres attendaient arbalète au poing à l'entrée de la cellule. 8 contre 2 ils étaient déterminés à leur couper la tête........
Personne ne répondit aux propos de Norman, Roy continuait quand à lui à se tenir la tête dans ses mains, il ne disait plus un mot...; Les ouvriers finirent leur œuvre en montant la lame sur deux poutres à la verticale, un système de cordage et une poulie la maintenait en l'air. Deux bastaings de chaque coté la guidait vers sa cible, le futur cou de ses victimes. En fin d'après midi l'estrade pour les spectateurs fut terminée.... Roy et Norman passèrent ce qui semblait être leur dernière nuit de vivant, le froid et l'humidité s'installèrent dans le cachot. Roy tournait en rond dans la geôle ses pieds claquant dans l'eau croupie de la cellule.
Il en fut ainsi jusqu'au petit matin, l'aube se lève, la cellule donne toute la mesure de la déchéance dans laquelle Roy et Norman sont tombés, il ne leur reste plus que quelques instants parmi les vivants. Au dehors les gens s'affairent, la garde se met en place sur la grand place, le bourreau prépare son ouvrage et le teste sur une buche. La lame tranchante et effilée sectionne d'un coup la buche celle-ci sous le choc s'envole pour retomber plus loin sur le pavé. Les gens s’installent sur l’estrade, du moins ceux de bonne naissance les gueux restant sur la place pavée profitant d'un spectacle trop rare. Puis le moment arriva, le prince accompagné de sa fille déflorée et abusée s'installe en haut de l'estrade, d'un geste il commande à sa garde le début de la procession morbide.
Le moment arrive, la garde parcoure les couloirs en traitant des chaines, des hurlements de protestation s'élèvent dans les geôles. Norman reconnait la voix de ses compagnons, mais il n'eut pas le temps de savoir qui tenait tête à l'autre, car on coulissa une barre d'acier au niveau de leur porte, puis quatre gardes entrèrent dans la cellule armés de chaines, quatre autres attendaient arbalète au poing à l'entrée de la cellule. 8 contre 2 ils étaient déterminés à leur couper la tête........
[MJ] L'Architecte Déchu- Admin
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Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
Le front perlant de sueur, les bras pendant le long de son buste et un râle bruyant s’extirpant péniblement de ses entrailles, Norman s’était passablement épuisé. Le sang perlait légèrement des poings ensanglantés de l’esclavagiste dont le regard était toujours aussi noir, mais le mal de tête résultant de cet excès de rage eut finalement raison de lui. Ses faiblards ne viendraient pas.
D’un pas moins dynamique il se retourna à sa couche à coté de son camarade dont toute once d’espoir avait disparus du son visage blottit sur ses genoux. Norman pouvait entendre les hommes s’affairer autour de la machine du bourreau, mais il n’eut pas le cœur de vérifier ce qu’il se passait. Son esprit était vide, emplit d’une rage intense qu’il contenait bien difficilement au vue de son poing soumit à des spasmes régulier et à la veine temporale battant avec force sur son front. Les deux compagnons d’armes restèrent là un moment, des minutes ? Non, des heures, lorsque le grand bonhomme sembla revenir à lui, la nuit était tombé, et la rumeur des gueux fabriquant la guillotine avait disparut.
Après avoir déféqué devant la porte de la cellule histoire de laisser un cadeau à ceux qui essaieraient de le sortir de là, Norman s’allongea de tout son long à coté de Roy recroquevillé comme un enfant qui dort à coté de lui. Songeur, alors que la fraicheur de la nuit lui donnait une chaire de poule frissonnante, le géant était sure d’une chose, si il sortait d’ici vivant, ce serait libre. Jamais il ne se laissera trainer jusqu’à l’échafaud pour mourir en esclave, non, il valait mieux que ça. C’était un guerrier, et comme tout bon guerrier, même désarmé il pouvait s’avérer dangereux. Oui, il se battrait pour sa liberté, et pour ça, il fallait que Roy le suive. Voyant son compagnon tremblant passablement à cause du froid intense maintenant dans la cellule, Norman décida d’attendre l’aurore pour essayer de convaincre Roy de combattre.
En attendant, le corps du géant se recroquevilla lui aussi, essayant de trouver le sommeil.
Quelques heures plus tard …
Le soleil commençant à prendre l’ascendant sur la lune sonna l’heure aux les coqs du village qui commencèrent à pousser leurs cris stridents réveillant la foule, Norman ne déroba pas à cette règle.
Il se retourna, toujours passablement frigorifié après cette nuit chaotique et décida qu’il était temps de redonner sa dignité à Roy. De légers coups de coude réveillèrent une bonne fois pour tout le vétéran d’une quarantaine d’année et Norman se leva et commença à frotter les murs de pierre avec ses doigts épais comme une branche d’arbre. Alors, il se retourna vers son ami et commença sa tirade.
« Tu sais m’n ami … nous allons à toute vue perdre notre vie aujourd’hui. »
Norman jeta un coup d’œil et vit les premiers hommes arriver autour de la machine sensée mettre fin à leur jour dans quelques heures.
« Après, il faut encore choisir comment … Partirons nous comme les faibles qui se sont laissé couper la tête comme des esclaves, ou partirons nous comme des guerriers sur un champ de bataille ? »
Le géant marqua une pause et ferma ses deux poings et ferma son unique œil.
« Roy, nous sommes de vrai combattant. Nos poings sont des armes pouvant pourfendre trois des faiblards qui nous ont étés envoyés au camp. Nos dents peuvent arracher la chaire, et surtout, ils nous mésestiment car nous sommes que de vulgaires prisonniers nus comme des esclaves. »
Norman ré-ouvrit son œil et porta un léger coup du flanc de son poing contre la pierre constituant le mur. A ce moment, il vit une buche volée au loin tranchée par la lame effilée de la guillotine.
« Cette pierre, peut briser le crâne d’un homme comme la meilleures des masses, alors certes n’sommes nus comme des verres … mais nous avons des armes bien plus puissantes qu’ils ne peuvent l’imaginer. Nous pouvons leurs crever les yeux, leur arracher à grandes bouchées leur cou et démolir leur estomac à nos poings endurcis par maintes batailles »
Norman prit une profonde inspiration et conclut très sommairement son raisonnement.
« Roy, battons nous, et mourrons s’il le faut, mais faisons le en homme, faisons le en guerrier. »
Ces mots conclurent le prêche du guerrier dans l’âme. Un léger sourire se dessina au coin de ses lèvres alors et il tendit une de ses mains à Roy.
« Allez mon amis, mourrons avec honneur, debout maintenant. »
Quelques heures plus tard, la rumeur de la cohue à l’extérieur commença à parvenir aux condamnés. Norman sentit son échine frissonner avec de plus en plus de force au fur à mesure que les minutes s’écoulaient. Le regard du guerrier devenait de plus en plus noir, plus aucun mot n’aurait pu sortir en cet instant alors qu’il ne contenait que bien difficilement le tremblement de sa main droite.
C’était enfin le moment, les chaines glissantes sur le sol, le bruit de pas dans les couloirs de la geôle, les hurlements des compagnons d’arme des deux détenus … Les bourreaux étaient maintenant dans la place. Norman se leva et regarda par la petite lucarne le spectacle qui s’offrait à lui.
Tous les bonnes gens sur l’estrade avec un regard noir, mais parsemé par une excitation certaine de voir des têtes tombées. Ce seigneur installé au première loge au près de sa promise à laquelle Norman et ses compagnons avaient fais perdre toute dignité … et enfin les gueux, tous étaient présents pour voir ça.
La porte après le cliquetis du déverrouillage tourna sur ses gonds et Norman resta un instant face à la lucarne, dévisageant tous ses pouilleux venus voir leur dose quotidienne d’hémoglobine.
« Une bien belle journée pour mourir mes amis, lança t’il alors que les pas se faisait pressant dans la cage les détenant. »
Son regard était noir, et il tourna les talons pour faire face à une véritable petite armée dans la minuscule cellule. Tous étaient entassés au bout de celle-ci et semblait attendre. Quatre Faiblards aux yeux de Norman armés de chaines étaient venus les sortir de là. Quatre Guignols en revanches armés d’arbalètes apparaissaient dans l’antre de la petite porte.
« Allez Roy, le moment est venu pour nous de mourir en héro. »
Norman n’avait pas peur, mais son regard retenait difficilement la rage de la bataille qui bouillonnait en lui. Il avança à pas de mouche en faisant mine d’accepter le sort qui l’attendait, bras en avant en signe de non résistance.
Une fois à portée de frappe des gus, l’attitude de Norman changea radicalement. Avant même que les hommes tentent de l’enchainer, ses bras se rabattirent à grande vitesse contre ses flancs avant d’être propulsé en direction de l’estomac des deux gueux. Norman lui-même était sonné face à ce genre de coup. Son regard était maintenant plus noir que jamais, et sans même chercher à savoir les dégâts de son attaque. Ses bras chargeaient à nouveau en direction des visages des deux assaillants qu’il avait prit à parti en espérant que Roy parviendrait à faire sa part du travail. Le combattant dans l’âme, pomme de ses mains en avant, visait pour le premier le mur dans lequel il souhaitait l’encastrer, alors que pour le second, c’était la porte gardée par les arbalétriers qui était visée, celui-ci devrait les gêner suffisamment pour qu’il puisse se cloitrer contre un coin de la cellule, dans un de leurs angles morts.
D’un pas moins dynamique il se retourna à sa couche à coté de son camarade dont toute once d’espoir avait disparus du son visage blottit sur ses genoux. Norman pouvait entendre les hommes s’affairer autour de la machine du bourreau, mais il n’eut pas le cœur de vérifier ce qu’il se passait. Son esprit était vide, emplit d’une rage intense qu’il contenait bien difficilement au vue de son poing soumit à des spasmes régulier et à la veine temporale battant avec force sur son front. Les deux compagnons d’armes restèrent là un moment, des minutes ? Non, des heures, lorsque le grand bonhomme sembla revenir à lui, la nuit était tombé, et la rumeur des gueux fabriquant la guillotine avait disparut.
Après avoir déféqué devant la porte de la cellule histoire de laisser un cadeau à ceux qui essaieraient de le sortir de là, Norman s’allongea de tout son long à coté de Roy recroquevillé comme un enfant qui dort à coté de lui. Songeur, alors que la fraicheur de la nuit lui donnait une chaire de poule frissonnante, le géant était sure d’une chose, si il sortait d’ici vivant, ce serait libre. Jamais il ne se laissera trainer jusqu’à l’échafaud pour mourir en esclave, non, il valait mieux que ça. C’était un guerrier, et comme tout bon guerrier, même désarmé il pouvait s’avérer dangereux. Oui, il se battrait pour sa liberté, et pour ça, il fallait que Roy le suive. Voyant son compagnon tremblant passablement à cause du froid intense maintenant dans la cellule, Norman décida d’attendre l’aurore pour essayer de convaincre Roy de combattre.
En attendant, le corps du géant se recroquevilla lui aussi, essayant de trouver le sommeil.
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Quelques heures plus tard …
Le soleil commençant à prendre l’ascendant sur la lune sonna l’heure aux les coqs du village qui commencèrent à pousser leurs cris stridents réveillant la foule, Norman ne déroba pas à cette règle.
Il se retourna, toujours passablement frigorifié après cette nuit chaotique et décida qu’il était temps de redonner sa dignité à Roy. De légers coups de coude réveillèrent une bonne fois pour tout le vétéran d’une quarantaine d’année et Norman se leva et commença à frotter les murs de pierre avec ses doigts épais comme une branche d’arbre. Alors, il se retourna vers son ami et commença sa tirade.
« Tu sais m’n ami … nous allons à toute vue perdre notre vie aujourd’hui. »
Norman jeta un coup d’œil et vit les premiers hommes arriver autour de la machine sensée mettre fin à leur jour dans quelques heures.
« Après, il faut encore choisir comment … Partirons nous comme les faibles qui se sont laissé couper la tête comme des esclaves, ou partirons nous comme des guerriers sur un champ de bataille ? »
Le géant marqua une pause et ferma ses deux poings et ferma son unique œil.
« Roy, nous sommes de vrai combattant. Nos poings sont des armes pouvant pourfendre trois des faiblards qui nous ont étés envoyés au camp. Nos dents peuvent arracher la chaire, et surtout, ils nous mésestiment car nous sommes que de vulgaires prisonniers nus comme des esclaves. »
Norman ré-ouvrit son œil et porta un léger coup du flanc de son poing contre la pierre constituant le mur. A ce moment, il vit une buche volée au loin tranchée par la lame effilée de la guillotine.
« Cette pierre, peut briser le crâne d’un homme comme la meilleures des masses, alors certes n’sommes nus comme des verres … mais nous avons des armes bien plus puissantes qu’ils ne peuvent l’imaginer. Nous pouvons leurs crever les yeux, leur arracher à grandes bouchées leur cou et démolir leur estomac à nos poings endurcis par maintes batailles »
Norman prit une profonde inspiration et conclut très sommairement son raisonnement.
« Roy, battons nous, et mourrons s’il le faut, mais faisons le en homme, faisons le en guerrier. »
Ces mots conclurent le prêche du guerrier dans l’âme. Un léger sourire se dessina au coin de ses lèvres alors et il tendit une de ses mains à Roy.
« Allez mon amis, mourrons avec honneur, debout maintenant. »
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Quelques heures plus tard, la rumeur de la cohue à l’extérieur commença à parvenir aux condamnés. Norman sentit son échine frissonner avec de plus en plus de force au fur à mesure que les minutes s’écoulaient. Le regard du guerrier devenait de plus en plus noir, plus aucun mot n’aurait pu sortir en cet instant alors qu’il ne contenait que bien difficilement le tremblement de sa main droite.
C’était enfin le moment, les chaines glissantes sur le sol, le bruit de pas dans les couloirs de la geôle, les hurlements des compagnons d’arme des deux détenus … Les bourreaux étaient maintenant dans la place. Norman se leva et regarda par la petite lucarne le spectacle qui s’offrait à lui.
Tous les bonnes gens sur l’estrade avec un regard noir, mais parsemé par une excitation certaine de voir des têtes tombées. Ce seigneur installé au première loge au près de sa promise à laquelle Norman et ses compagnons avaient fais perdre toute dignité … et enfin les gueux, tous étaient présents pour voir ça.
La porte après le cliquetis du déverrouillage tourna sur ses gonds et Norman resta un instant face à la lucarne, dévisageant tous ses pouilleux venus voir leur dose quotidienne d’hémoglobine.
« Une bien belle journée pour mourir mes amis, lança t’il alors que les pas se faisait pressant dans la cage les détenant. »
Son regard était noir, et il tourna les talons pour faire face à une véritable petite armée dans la minuscule cellule. Tous étaient entassés au bout de celle-ci et semblait attendre. Quatre Faiblards aux yeux de Norman armés de chaines étaient venus les sortir de là. Quatre Guignols en revanches armés d’arbalètes apparaissaient dans l’antre de la petite porte.
« Allez Roy, le moment est venu pour nous de mourir en héro. »
Norman n’avait pas peur, mais son regard retenait difficilement la rage de la bataille qui bouillonnait en lui. Il avança à pas de mouche en faisant mine d’accepter le sort qui l’attendait, bras en avant en signe de non résistance.
Une fois à portée de frappe des gus, l’attitude de Norman changea radicalement. Avant même que les hommes tentent de l’enchainer, ses bras se rabattirent à grande vitesse contre ses flancs avant d’être propulsé en direction de l’estomac des deux gueux. Norman lui-même était sonné face à ce genre de coup. Son regard était maintenant plus noir que jamais, et sans même chercher à savoir les dégâts de son attaque. Ses bras chargeaient à nouveau en direction des visages des deux assaillants qu’il avait prit à parti en espérant que Roy parviendrait à faire sa part du travail. Le combattant dans l’âme, pomme de ses mains en avant, visait pour le premier le mur dans lequel il souhaitait l’encastrer, alors que pour le second, c’était la porte gardée par les arbalétriers qui était visée, celui-ci devrait les gêner suffisamment pour qu’il puisse se cloitrer contre un coin de la cellule, dans un de leurs angles morts.
- Spoiler:
Bon, voila, donc Norman ensuite essaye de crever les yeux du premier gars qui lui tombe sous la main, ou de lui arracher une partie du coup façon vampire. On fait avec ce qu’on a.
Voilou, prions maintenant ^^
Norman Dorgon- Admin
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Re: [RP] Norman Dorgon "l'aube d'un nouveau jour"
jet CT arbalatrier 1: 09 => réussit arbalétrier deux: 48 => loupé
Test E Norman 85 => loupé
Norman frappa fort et frappa bien, les deux hommes de chaque coté de ses flancs s'écroulèrent sur leur genoux, tout se passa en une fraction de seconde, il était libre désormais, mais les arbalétriers firent feux, les carreaux entrèrent promptement dans la cellule. Un carreau se ficha dans l'épaule de Norman, le choc fut violent au point de déstabiliser le géant que recula et tomba assit prenant conscience de sa douleur. Un deuxième effleura sa joue fraichement blessée ce qui un instant réveilla ses nerfs l'incitant à la tenir de ses mains. Il put malheureusement apercevoir que le carreau ne se ficha pas dans les murs de la cellule, non ce fut bien pire, Roy s'écroula sans un mot et s’étala de tout son long un carreau fiché entre les deux yeux. Norman pu voir son visage figé les yeux grand ouvert, blanc retournés dans leur orbite. Un filet de sang coulait de son front.....
Norman vit le visage de son compagnon une dernière fois, les hommes désormais debout le ruèrent de coups, il tomba inconscient dans l'eau croupie..... il se réveilla quelques instant après trainé dans les geôles enchainé, les hommes remarquant son réveil le levèrent et l'amenèrent à son destin...... La lumière du jour ébloui quelque peu Norman, il ne pouvait que distinguer l'échaffaut et l'estrade ou on l'attendait. ses compagnons attendaient un à un les 6 étaient sauf un était allongé sur une planche la tête situé de l'autre coté de l’échafaud..... La foule scandait leur mort, le bruit de la lame tombant lourdement sur le cou premier compagnon et sectionna la tête qui roula de l'estrade pour finir sur le pavé..... Une gerbe de sang s'échappait de son coup arrosant les spectateurs qui ne prirent même pas le soin de s'en écarté. le peuple voulait du sang... Puis ce fut au tour du deuxième, ainsi Norman put voir tous ses compagnons exécutés, il ne restait plus que lui...... On l'emmena sur l'échaffaut, on le plaça sur le ventre, ses tentatives de dégagement furent vaine, entravé et subissant le poid des chaines sans oublier la faim depuis quelques jours, il fut vaincu..... Le géant positionné attendit son tour, un long moment puis subitement quelqu'un l'atrappa par les cheveux, un homme grisonnant, parré de beaux habits le prince sans doute..... Il lui parla haut et fort, a foule était silencieuse......
"- Norman Dorgon, fils de ch..... de ce gueux de Dorgon vos compagnons vous on balancer, ils préféraient l’échafaud..... Vous avez abuser de ma fille jeune homme, et ça ce fut votre dernière erreur! Elle souffre et bien aujourd'hui commence votre purgatoire! Vous n'avez plus rien, vos compagnons sont morts, plus de famille, vous êtes une chose désormais! vous vendiez des esclaves et bien désormais vous en êtes un! je vous donne le menu, un mois de galère pour les terres du sud, le sultan Mouamman à besoin de rats puant comme toi, tu creuseras dans les mines de sel de Lima si tu survis au désert..... Tu vois je sais être magnanime, tu passeras ta vie à penser à moi! Allez emmenez moi ce chien hors de ma vue exécutez les ordres! Droit aux galères on va voir si ce rat est aussi fort dans le désert! Plus une seul femme, plus de fraicheur que le travail, que le gout du sel et ce pour ta vie entière!!! A notre bon souvenir charogne!"
HRP tu peux encore lancer quelques obscénité bien placées.....
[MJ] L'Architecte Déchu- Admin
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