Résumé des trois premières soirées

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Vos personnages se rencontrent à Taalagad, la ville portuaire de la grande cité indépendante de Talabheim. C'est là que chacun fait la connaissance de l'édit Impérial ( par le bouche à oreille, grâce à une conversation entendue dans une auberge de la ville, en tombant sur une affiche placardé, ou, selon votre imagination, par un autre moyen).

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S’étant rencontrés à Taalagad, la ville portuaire de Talabheim, où ils prirent connaissance de l’édit du nouvel Empereur Heinrich Ier promettant une récompense de 50 CO par tête d’homme-bête, Franz Wagner, l’apprenti sorcier, Hans Schultz le ratier et Helmut Gästigkeit, le guide racoleur, tous les trois fraichement reconvertis aventuriers afin d’échapper aux affres de leur vie, après quelques emplettes nécessaires à leur tâche, s’en allèrent donc en direction du Hochland.

Après une journée dans les forêts du Sud du Hochland, à la nuit tombée, le hasard plaça Wasselnheim, hameau forestier d’une trentaine d’âmes, sur leur chemin. Leur première rencontre avec un autochtone, Ellias Eichmann, chasseur peu loquace qui faillit les transpercer d’une de ses flèches – il prétexta les avoir pris pour des biches -, leur indiqua un lieu où ils pouvaient se mettre à couvert de la nuit.

Hans, Franz et Helmut se rendirent alors à la ferme-auberge des Meyerfeld. Là, ils purent entamer une conversation instructive avec Hektor Görchen, l’homme à tout faire du Bürgermeister, les deux frères Léopold et Léonard Schnekenburger, patrouilleurs ruraux, et un médecin de Talabheim, Emmercih Schwartz, venu visiter le Bürgermeister Goldschmidtt souffrant d’une fatigue depuis près deux mois. Pêle-mêle, ils apprirent qu’il y avait eut une querelle entre le Bürgermeister de Tussenhof en Hochland et celui de Klepzig dans le Talabecland au sujet de taxes d’importation injustement trop élevées à l’encontre des Hochlandais. Selon les patrouilleurs ruraux, la discussion avait mal tourné et ce dernier a giflé le premier. Enfin, que les Chevaliers Panthères étaient dans les forêts du Nord du Hochland et il n’y aurait bientôt plus d’hommes-bêtes dans toute la Drakwald.

Nos aventuriers profitèrent ensuite de la soupe aux chou préparée par Greta, l’ « aimable » tenancière, lorsque leur repos fut troublé par Markus Eilenbecker, bucheron à Wasselnheim, qui surgit dans l’auberge en hurlant : « Les hommes-bêtes attaquent le village !!! Les hommes-bêtes attaquent le village !! ». Helmut suivit Markus sur la trace des créatures jusqu’à l’orée des bois, à hauteur de la masure de Dagma Jünger, la folle du hameau, c'est-à-dire à l’endroit où ce dernier prétendit avoir vu les hommes-bêtes. Inconscient du danger, Markus, armé de sa simple hache de bucheron, pénétra dans l’obscurité des frondaisons. Helmut, et Hans et Franz qui le rejoignirent, quant à eux, ne se hasardèrent dans la forêt et préférèrent regagner la ferme-auberge. Avant cela, Helmut alla rendre visite à Markus et s’entretint avec lui. Ce dernier lui soutint l’existence des hommes-bêtes, prétendant qu’il les entendait et en avait entraperçus dans la foret quand il allait faire son métier. Il lui révéla également l’existence de leurs empreintes tout autour du manoir du Bürgermeister. A leur retour à l’établissement des Meyerfeld, Hans, Franz et Helmut se rendirent compte du départ précipité des deux patrouilleurs ruraux, connus comme étant deux sinistres couards, puis, Greta protesta que ce satané Middenlander de Markus était un excité qui allait lui faire perdre ses rares clients. Helmut alla se coucher alors que ses deux valeureux camarades décidèrent d’aller inspecter le hameau dans l’éventualité d’une nouvelle attaque des hommes-bêtes. Leur inspection nocturne des champs de céréales du hameau leur apprit qu’ils avaient déjà été visités. De nombreux épis de céréales étaient écrasés et arrachés par le passage ou l’action de quelque chose. Voulant poursuivre leur investigation nocturne jusqu’à l’endroit où Markus avait surpris les hommes-bêtes, ils furent surpris par celui-ci qui montait la garde. Markus, fou de fureur, et malgré leur protestation, les prit pour des hommes-bêtes – c’est ce qui prétendit, penaud, après avoir repris ses esprits – et les attaqua sauvagement. Hans et Franz ne durent leur survie qu’à l’intervention du Bürgermeister dont le manoir se trouvait à proximité de leur affrontement. On du ramener Hans jusqu’à chez les Meyerfeld et les deux camarades reçurent les soins de Emmerich Schwartz qu’on alla chercher dans sa chambre. Une fois remis de leurs émotions, chacun rejoignit sa chambre. La nuit se passa calmement, sans qu’une autre attaque d’homme-bête ne fût déclarée.

Le lendemain, avant son voyage de retour à Talabheim, Emmerich Schwartz apporta de nouveaux soins à Hans et Franz. Pendant ce temps, Helmut, profitant du calme de l’aube, s’en retourna inspecter les alentours proches du manoir, à l’endroit que Markus lui avait signalé la veille. Le résultat de son investigation corrobora les dires du Bucheron. Effectivement, de nombreuses empreintes se trouvaient tout autour de la bâtisse du Bürgermeister. Quant à eux, Hans et Franz, retournèrent dans les champs et purent se rendre compte de la présence d’autres empreintes. Celles-ci semblaient s’enfoncer dans la forêt. Perspicacement, Franz en reconnut certaines comme étant celles de sangliers, mais les autres, différentes, n’étaient visiblement pas de la même nature. Rejoins par Helmut, ils regroupèrent les résultats de leurs découvertes respectives. Intrigués, le groupe s’en alla au manoir rencontrer Georgius Goldschmidtt, le Bürgermeister, lequel, quoi que se plaignant d’une grande fatigue, les reçut aimablement dans un petit salon. Le Bürgermeister leur manifesta sa vive inquiétude, et accorda un crédit alarmé aux déclarations de Markus. De ce fait, il proposa à Hans, Franz et Helmut, la fonction d’agents Impériaux exceptionnels afin de leur permettre de mener leur enquête pour débusquer et se débarrasser de ces horribles créatures. Suspicieux envers sa personne, Franz, l’apprenti-sorcier, usa de son sort de sommeil pour endormir le Bürgermeister. Lui et ses camarades, en profitèrent alors pour inspecter et fouiller les pièces du manoir. Cependant, à part la présence suspecte de terre qui avait sali les tapis du salon où Goldschmidtt les avait reçus, leur fouille fut infructueuse. Leur recherche fut interrompue par l’arrivée de Hektor, alerté de l’évanouissement de son employeur par Helmut. L’intention de ce dernier n’ayant aucun autre intérêt que de profiter de l’absence de l’homme à tout faire pour inspecter le jardin du manoir, là où il put en effet se rendre compte de la présence d’empreintes qu’il ne put malheureusement pas identifiées.

Arrivés à la conclusion que le point de départ de leur enquête étaient ces empreintes et que le fait de remonter leurs pistes, tache pour laquelle aucun des trois n’étaient compétents, leur permettrait de la faire progresser, Hans, Franz et Helmut, s’accordèrent pour avoir recours à l’aide d’une personne à même de les aider dans cette voie. Leur choix se porta sur Ellias, le chasseur qu’ils avaient rencontré le soir de leur arrivée dans Wasselnheim.

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Aussitôt sortis du manoir du Bürgermeister, Hans, Franz et Helmut firent la rencontre de Dank, un soldat du Middenland lancé sur les routes du Vieux Monde dans le but de prouver sa valeur martiale et son courage au Temple d’Ulric. Entretenus de leur dessein commun de répondre à l'appel de l'Empereur Heinrich en tuant des homme-bêtes, le groupe, renforcé par le soldat Middenlander, décida de se rendre chez Ellias afin de solliciter son aide. Hans, quant à lui, salua ses camarades et rejoignit la ferme-auberge des Meyerfeld pour la matinée afin de récupérer de sa blessure.

L'accueil du chasseur fut aussi peu enthousiaste et chaleureux que lors de leur première rencontre la veille au soir. Malgré leur insistance, Helmut, Franz et leur nouvel camarade Dank, essuyèrent un refus cynique. Finalement, exaspérés, ils se rendirent à la prescription d’Ellias et s'en allèrent à la ferme des Taalmann. Là, ils firent la connaissance de Karl Taalmann, un autre chasseur du hameau. Perplexe également quant à l'existence d'hommes-bêtes dans les environs de Wasselnheim mais toutefois intrigué par les déclarations de Franz et Helmut, fraichement enorgueillis de leur nouvelle fonction d'agents exceptionnels de l'Empire délivré par le Bürgermeister, Karl leur accorda son aide dans leur recherche. Incapable d'identifier les nombreuses empreintes autour du manoir du Bürgermeister, cependant, et quoique certaines le laissèrent dans l'expectative, Karl identifia formellement celles présentes dans le champ du métayer comme appartenant à des sangliers. Précédés par le chasseur, Franz, Helmut et Dank, s'engagèrent donc dans la forêt à la suite de la trace des animaux.

Au bout de moins d'une heure, cette piste les mena jusque dans une petite clairière où ils eurent la mauvaise surprise de se trouver nez-à-nez face à une harde de quatre sangliers mutants : un était affublé d'une patte supplémentaire, l'autre bavait une substance gluante, le troisième présentait une obésité importante. Enfin, le dernier, le plus effrayant, était entouré d'un épais nuage de mouches et flanqué d'une queue dont l'extrémité renflée était garnie de pointes. Le combat s'engagea. Karl fut lourdement frappé à l'épaule d'un coup de hure et prit la fuite dans la forêt, blessé. Heureusement, Dank réussit à tuer deux de ces créatures. Les deux autres prirent la fuite à travers les fourrées. Quitte d'hommes-bêtes, le groupe venait de mettre à jour le sceau du Chaos.

Malgré la protestation de Dank, exaspéré par la faconde et défiant en ce qui concerne la revendication de Helmut au sujet de la nature aristocratique de sa famille à Talabheim (les von Gästigkeit), ce dernier rejoignit tout de même le hameau avec la queue tranchée du sanglier dans l'intention de la présenter au Bürgermeister. Franz et Dank décidèrent de rester sur place, perchées dans des arbres pour se mettre à couvert d'une éventuelle nouvelle mauvaise rencontre. Avant de se rendre au manoir, Helmut rendit visite au bucheron Markus afin de lui certifier que ces déclarations étaient fondées et de finir de s'assurer de son soutien. Enfin, après s'être assurés de l'état de santé de Karl à la ferme des Taalmann, Helmut et Markus se rendirent au manoir de Golddschmiddt. Quoique lui même convaincu de l'existence d'un danger tangible rodant autour du hameau, le Bürgermeister fut vivement ému par la découverte de créatures frappées par le Chaos. A la demande pressante de Markus, il décida donc de lever un guet à Wasselnheim et de tenir une réunion générale à la salle des fêtes, en fin d’après-midi. Sur ce, Helmut et Markus repartirent sur les lieux du combat afin de rejoindre leurs deux camarades.

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Pendant ce temps, Franz et Dank, restés sur place, firent la rencontre d’un voyageur égaré : Le jeune voleur-gentilhomme Herschell. Puis, Helmut et Markus le bucheron les rejoignirent. Markus, saisi par le spectacle des cadavres des sangliers mutants, commença à perdre son sang-froid. Pris d’une fureur soudaine, il prétendit avoir entendu des grognements d’hommes-bêtes dans les fourrées et s’y engagea en vociférant, la hache au poing. Dank, qui réussit à distinguer la nature réelle du bruit, s'aperçut qu'il ne s'agissait que du craquement et la chute au sol d’une branche d’arbre. Cependant, dans la direction opposée, Herschell distingua une grande silhouette humanoïde dégingandée qui, dissimulée dans les frondaisons, semblait les épier. Herschell décocha un carreau de son arbalète de poing dans sa direction. Le carreau vint se ficher dans la tronc d'un arbre et la créature détala à l’abri de l’épaisseur des fourrées. Finalement, le groupe décida de rentrer à Wasselnheim en laissant les cadavres des sangliers mutants.

De retour au hameau, apostrophé par un fermier qui se recueillait à l'oratoire de Tall, ils ne tardèrent pas à se rendre compte que les villageois étaient déjà au courant de leur découverte. Franz, Dank, Helmut et Herschell, se rendirent à la ferme-auberge des Meyerfeld où ils y retrouvèrent leur camarade Hans. Tous prirent leur déjeuner en la compagnie du métayer Matthias Jacob avec lequel ils discutèrent. Comme quelques autres villageois, celui-ci sembla également réfuter la présence d'hommes-bêtes. Enfin, à la fin du repas - un plat de poissons assorti de pommes de terre - , sur le ton de la plaisanterie, ils reçurent une confidence de Ernst. L'aubergiste leur apprit l'histoire du fils de Dagma Junger, la folle, Zaccharias. Lui aussi dérangé, comme tous les Junger, disparu un jour de ses 8 ans dans la forêt pour ne plus jamais réapparaitre au hameau. Il leur apprit ensuite que certains prétendaient que Zaccharias vivait toujours dans la forêt et qu'il venait rendre visite à sa mère. Ernst conclut en plaisantant qu'il était convaincu que ce que Markus avait pris pour un homme-bête le soir de leur arrivée, devait en réalité être Zaccharias.

Alors que ses camarades prenaient leur repas, Herschell, décida de se rendre au manoir du Bürgermeister dans l'intention de repérer les lieux pour un éventuel cambriolage. Avant cela, il se rendit à la masure de Dagma Junger, dans l'espoir de connaitre les habitudes des occupants du manoir. Dans le flot de paroles et de gestes incohérents, tout ce qu'il put apprendre de la vieille folle fut que son petit garçon adoré venait lui rendre visite de temps à autre, le soir, pour lui apporter à manger. Las de son verbiage absurde, il décida alors de pénétrer dans l'enceinte du manoir. Il réussit aisément à escalader la palissade en bois qui entourait l'imposante battisse, mais malheureusement, il fut aperçu par un domestique qui se tenait à une fenêtre. Le cambrioleur-gentilhomme réussit à prendre la poudre d'escampette et à se cacher dans la cabane de Markus, restée ouverte. Dissimulé là, il en profita pour fouiller la pièce. Le résultat de sa fouille, peu convaincant, ne lui permit pas de trouver quelque chose digne d'un quelconque intérêt. Une fois les domestiques lancés à sa poursuite rentrés au manoir, Herschell s'en revint rejoindre ses nouveaux camarades chez les Meyerfeld.

Forts de ces nouveaux renseignements, et souhaitant les compléter, le groupe, diminué de Franz et Helmut, restés dans leur chambre chez les Meyerfeld pour se reposer, circonscrivirent leur enquête au Hameau.

Hans, Dank et Herschell, se rendirent à la petite chapelle dédiée à Mòrr où ils y rencontrèrent une jeune femme représentante de la famille Euberling. Ils apprirent d'elle que Herr Goldschmiddt, le Bürgermeister, arrivé à Wasselnheim il y a deux ans, était très apprécié par les autochtones. Il avait effectué des travaux de réparation du pont et du moulin et avait fait construire une salle des fêtes. Elle leur apprit aussi que le prêtre de Mòrr, Baptist Schwarzberg, résidait à Harferfähre, et qu'il ne venait à Wasselnheim que lors de cérémonies particulières ou pour des funérailles. Quant au meunier, Rolf Mordenkheim, il était un ancien soldat du Hochland à la retraite et était devenu propriétaire du moulin il y a deux ans, à la suite de la mort de son ancien propriétaire, le frère de la porchère Eugenia Frantz. Enfin, comme leur dirent la plupart des habitants du hameau, elle leur reformula que Ellias Eichmann était un individu taciturne et solitaire. A la forge, ils ne purent en apprendre davantage. De son coté, Herschell alla rendre visite au meunier mais celui prit très rapidement congé de lui, prétextant que son travail ne lui permettait pas de perdre du temps à écouter des sornettes.

Arrivés en fin d'après-midi, Dank et Hans se rendirent à la salle des fêtes, lieu de la réunion plénière commandée par le Bürgermeister. Selon leur compte, seuls deux personnes n'y étaient pas présentes : Dagma Junger, la folle, que personne n'avait jugé necessaire de convier, et l'énigmatique Ellias Eichmann. Herschell, quant à lui, selon le plan élaboré par le groupe, devait se poster caché à proximité de la masure de Dagma Junger afin de surprendre l'éventuelle venue de son fils, Zaccharias.

La réunion commença dans la clameur et les grognements de l'assemblée réunie. Le Bürgermeister, s'exprima sur les faits qui touchaient le hameau avec un ton grave que personne ne lui connaissait et avec l'énergie que son état de fatigue lui permettait. Il affirma qu'il avait décidé la mise en fonction du guet pour se protéger d’une attaque des hommes-bêtes, peut-être imminente. Entre temps, au milieu de son discours, Ellias pénétra dans la salle des fêtes, encadré par deux hommes de la famille Euberling qui étaient allés le chercher dans sa cabane au moment où il allait partir à la chasse. Ellias, visiblement amené là à l'insu de son plein gré, s’installa à la table de Hans, à l’écart de l’assemblée. Markus le prit alors rudement à parti, l’accusant d’être un dévot du Chaos et prétextant, pour étayer ses déclarations, que ses vadrouilles nocturnes dans la forêt et ses absences répétées étaient les preuves de l’irréfutabilité de sa complicité avec les hommes-bêtes. Furieux, et comme pris de frénésie, il bondit de sa chaise en dégainant un long couteau de sa ceinture avec l'intention manifeste de tuer le chasseur. Dank, Hans et le meunier Mordenkheim jaillirent de même, tel un seul homme, pour empêcher l'affrontement. Hans se saisit de sa chaise et la jeta sur Markus, lequel, ralentit, fut intercepté par Dank. Le soldat Middenlander lui assena un coup terrible qui le sectionna en deux parties au niveau de la taille. Ellias, prêt de la porte, profita de la confusion et de l'horreur de la situation pour fuir vers l'Est, en direction de Langwiese, avant de s'enfoncer dans les ténèbres de la forêt. Rolf Mordenkheim, l'ancien soldat, parti à ses trousses, réussi à le blesser lors de sa fuite.

Au même moment, Herschell, contrevenant à son rôle de guet, décida de pénétrer dans le manoir du Bürgermeister pour y commettre un de ses forfaits. Bénéficiant de la pénombre de la fin du jour, il réussit facilement, cette fois, à pénétrer dans une partie du manoir. Malheureusement, il fut découvert par un domestique de la maisonnée puis capturé par deux autres qui vinrent s'allier au premier. Immobilisé, fouillé, désarmé, et ligoté, les domestiques décidèrent de l'amener manu militari jusqu'au baraquement des patrouilleurs ruraux pour l'y emprisonner.

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