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Géographie bretonnienne

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Géographie bretonnienne Empty Géographie bretonnienne

Message par Yorick le Miséricordieux Lun 7 Mar - 12:23

extrait des livres: warhammer®: Les Chevaliers du Graal ; Le Compagnon ; WD 133 ; Warhammer JDR V1 & 2 ;

Quiconque voyage en Bretonnie aura le plaisir de parcourir une terre belle et prospère, à l’exception du moins sinistre duché du Moussillon. Les forêts interdites et les montagnes menaçantes de l’empire sont ici absentes. Cela ne signifie aucunement que le pays ne présente aucun danger, car derrière cette façade, les menaces abondent. Le paysage bretonnien se divise en six grands types principaux : Les terres arables, les pâturages, les forêts, les montagnes, la côte et les grands fleuves.

Les terres arables


Les terres arables sont les terres de Bretonnie où l’on cultive les céréales et les légumes, principalement le blé, mais aussi l’avoine, l’orge. Les champs sont très vastes et divisés en larges parcelles. Chaque famille de paysans est responsable de l’une d’elles, si bien que nombreux champs paraissent rapiécés en raison de la qualité d’entretien très variable.
Les paysans travaillent la terre de façon quasi permanente. Quand le temps est clair, cela ajoute au charme du décor, et ces hommes et femmes ont tous l’air joyeux. Mais quand le climat est moins clément, ils s’échinent contre les intempéries, manquant de disparaître de la vue tellement ils sont couvert de boue, ce qui leur vaut le surnom de cul-terreux.

Les pâturages

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Les vergers et les vignes sont courants dans les collines où le sol est trop escarpé pour faciliter l’agriculture. Les animaux qui broutent assurent la tonte de l’herbe et la vue d’une colline verdoyante mouchetée de moutons blancs ou de vaches rousses, typiques du pays, est presque banale. Les troupeaux sont sous la responsabilité de vergers ou de vachers. Les bergères sont très courantes dans le Sud de la Bretonnie, notamment en Gasconnie, où il s’agit de la seule occupation permettant à une femme de voyager seule. Mais les apparences sont trompeuses, car les troupeaux de moutons attirent les prédateurs, allant de simples loups aux gobelins, orques, hommes-bêtes et autres. C’est ainsi que la vie des bergers est bien plus périlleuse qu’il n’y paraît. A ce propos, les bergères ont une réputation de guerrières redoutables et ont souvent de mal à trouver un mari. La plupart des bergers voyagent avec une houlette bretonnienne, une sorte de lance armée d’un crochet à son extrémité, et dont ils savent diablement bien se servir. Les bergers de Gasconnie constituent la première ligne de défense du duché contre les pillards orques qui infestent les montagnes. En effet les bergers et bergères gasconnais sont des guerriers bien entraînés, également formés à opérer seuls, espionnant et harcelant les troupes d’orques.

Les forêts


La lisière des forêts bretonniennes est parfaitement exploitée par la population. Les cochons fourragent dans les tas de feuilles, les arbres sont abattus pour la construction, tandis que d’autres sont taillés ou étêtés pour le clayonnage ou le torchis. Lorsque l’on s’enfonce dans les forêts, celles-ci sont aussi sombres et enchevêtrées que celles de l’empire. On ne trouve aucuns habitants dans les forêts de Bretonnie, elles constituent donc un havre pour les hommes-bêtes et autres créatures infâmes du même ordre, mais également pour les adorateurs des Puissances de la Corruption.

La forêt d’Arden

La Forêt d'Arden est une immense forêt de chênes qui recouvre une grande partie du nord de la Bretonnie, jusqu'aux contreforts des Montagnes Grises. Cette situation géographique l'expose souvent aux invasions des tribus d'orques, de gobelins et autres, qui descendent des hauteurs des Sœurs Blanches avant de pénétrer les plaines de Bretonnie. La forêt sert de repaire à ces agresseurs, d'où ils peuvent organiser raids et attaques en relative impunité. En effet, les sous-sols quasi impénétrables et la présence de nombreux marécages au milieu des arbres rendent difficile toute tentative de poursuite des pillards. Cependant des Paladins font parfois le serment de pourchasser et d’abattre les êtres infâmes qui errent dans la forêt ou de périr dans leur quête.
Des monstres énormes et redoutables hantent les profondeurs de la forêt, attirant ainsi des Chevaliers Errants et des Chevaliers de la quête désireux de les tuer afin de prouver leur valeur. La plupart d'entre eux ne reviennent jamais, et leurs ossements sont parfois retrouvés des siècles plus tard, éparpillés à l'entrée d'une tanière ou entr'aperçus au fond des eaux d'un étang recouvert de brume. Cà et là, les racines des arbres se sont faufilées à travers la visière d'un heaume, ou une épée est enserrée jusqu'à la garde dans l'écorce d'un chêne qui a grandi autour d'elle...

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La Forêt de Châlons

Elle est très différente des autres forêts de Bretonnie, étant ancrée en grande partie sur les pentes occidentales du massif d'Orquemont : c'est une chaîne montagneuse battue par les vents qui domine le centre du pays. Des arbres tordus y poussent entre les ravines et les terres désolés, à l'ombre d'aiguille rocheuses impressionnantes. La montagne est constellée de grottes, et de nombreux torrents en jaillissent en cascades majestueuses, avant de s'écouler dans la forêt où ils forment lacs et étangs d'eau claire. Des roches monumentales se tiennent en équilibre précaire au bord des falaises et des à-pics, surplombant des crevasses au sol couvert des mousses et de fougères. En dépit de son apparence plaisante, l'est de la forêt abrite de nombreuses créatures dangereuses d'Orquemont, notamment des orques, des gobelins et d'autres êtres plus innommables encore... Les battues organisées, pourtant régulièrement, par les chevaliers bretonniens ne sont jamais parvenues à éliminer ni même à diminuer cette menace sur les terres environnantes.

La Forêt de Loren

L’immense et mystérieuse Forêt de Loren s’étend au Sud-est de la Bretonnie. Elle est située à l’Ouest de la chaîne des Montagnes Grises. Cette forêt est si vaste que sa nature change d’un extrémité à l’autre, des plaines couvertes de chênes noueux s’élevant dans les brumes des nombreux étangs et lacs des basses terres, aux étendues de pins sombres et de bouleaux argentés qui poussent sur les contreforts des montagnes. Des menhirs gravés de runes elfiques marquent les limites de ce domaine végétal. Au-delà s’élèvent des arbres gigantesques dont les branches frissonnent et se tordent lentement, comme pour échapper à la barrière magique que forment ces pierres gardiennes. Les racines rampent et griffent les pierres couvertes de mousse, au milieu d’une brume persistante qui recouvre les clairières et les cavités du sol. Un tel labyrinthe de troncs et de branches suffit à rebuter l’esprit le plus décidé, car il abrite des yeux épieurs, des mouvements furtifs à peine entr’aperçus et des bruits inquiétants. La tranquillité surnaturelle des clairières tapissées de feuilles mortes et la brise silencieuse soufflant sur les sentiers ne voilent aucunement le sentiment d’être observé et mesuré à chaque pas que l’on y fait. Caché dans la forêt se trouve le légendaire royaume d’Athel Loren. Cette région mystérieuse est la dernière enclave elfique du Vieux Monde. Ses habitants sont des descendants des hauts elfes qui, contrairement à leurs semblables, ont refusé d’abandonner le Vieux Monde et se sont installés dans la région la plus inaccessible qu’ils purent trouver, s’y protégeant à l’aide de la magie.
Même si le Roi de Bretonnie revendique la souveraineté sur cette région, c’est en réalité un royaume indépendant avec ses propres lois et ses propres dirigeants. Les Bretonniens respectent les Elfes sylvains et ne se mêlent pas de leurs affaires. Les Rois de Bretonnie n’ont jamais tenté d’étendre leur autorité sur les Elfes et aucun Baron ne tente de se constituer un domaine dans cette forêt. C’est une des rares régions dans laquelle les orques et autres envahisseurs craignent de pénétrer et ou, s’ils le font, ils disparaissent à jamais.
La forêt d’Athel Loren défie les lois du temps et de l’espace. Il est possible d’explorer ses sous-bois les plus sombres pendant seulement quelques heures, pour ensuite en ressortir et se rendre compte que des siècles se sont écoulés dans la vie réelle. De la même façon, certains se sont déjà perdus dans la forêt pendant des décennies avant de finalement s’en échapper pour s’apercevoir qu’une poignée de minutes se sont écoulées depuis leur disparition. Athel Loren est plus vivante que n’importe quelle autre forêt, et il est impossible de s’y orienter car les repères changent sans arrêt de place. Un endroit où s’ouvrait une clairière se retrouve recouvert d’une végétation inextricable le matin suivant, tandis que les sentiers disparaissent ou se reforment sans cesse. Il faut au voyageur plusieurs jours pour trouver son chemin à travers l’impénétrable forêt et très peu, à part les Paladins, s’y risqueraient. Cependant, certains esprits de la forêt ne sont pas systématiquement agressifs envers les étrangers. Ceux qui ont de la chance ou un cœur valeureux trouvent parfois un chemin au milieu des arbres, guidés par un rai de lumière ou un sentier moins traître que les autres.

Spoiler:

Les Montagnes


Les montagnes qui dominent la Bretonnie et le massif d’Orquemont, sont impressionnantes de majesté. De gigantesques à-pics et des cascades rugissantes caractérisent des abords de ces montagnes. Par temps clair, la neige fait miroiter les sommets. Des communautés fermières et minières parsèment les contreforts de ces massifs. Les toits des maisons y sont particulièrement pentus pour s’assurer que la neige de s’y accumulent pas. La Bretonnie compte en tout trois massifs montagneux. Les Sœurs Pâles au Nord-est & les montagnes Grises au Sud-est qui constituent la frontière entre le Royaume et l’Empire, le massif d’Orquemont qui jaillit de terre au centre de la Bretonnie, et enfin les Montagnes d’Irrana au Sud qui délimitent les frontières du Royaume avec l’Estalie.

Les montagnes Grises

Ces hautes montagnes constituent la frontière qui sépare l’Empire de la Bretonnie. Quelques défilés les traversent et sont empruntés par les voyageurs et les marchands, mais ils sont peu sûrs et impraticables en chariot. Seules des mules et des hommes à pied peuvent les utiliser. La plus importante de ces passes est appelée le Défilé de la Hache. Elle est gardée du côté Impérial de la montagne par la forteresse d’Helmgart, et du côté Bretonnien, par le château de Montfort. Cette passe, chemin tout désigné des armées d’invasion qui tentent de franchir les montages, a été le théâtre de nombreuses batailles et escarmouches. L’extrémité nord des Montagnes Grises s’abaisse graduellement pour atteindre les hautes terres de la Troué de Gisoreux. C’est la principale route commerciale entre la Bretonnie et l’Est, et le chemin le plus facile pour toutes armées d’invasion. Cet accès est donc défendu par de nombreux et formidables places fortes tenus par des Barons belliqueux qui saisiront la moindre opportunité de guerroyer à la tête de leurs nombreux chevaliers et hommes d’armes.

Les Pâles Sœurs

Les Sœurs Blanches, aussi appelées Pâles Sœurs, sont une région de collines calcaires situées à l’extrême nord des Montagnes Grises. Ces collines désolées, séparées des montagnes par le fleuve Oisel, sont habitées par des bergers Bretonniens, et les châteaux y sont peu nombreux. Les ancêtres des Bretonniens inspirés par les contacts qu’ils avaient avec les elfes et les nains, y ont érigé d’immenses tumulus funéraires pour leurs chefs. Ces tombeaux, aujourd’hui en ruines, sont devenus des repaires de monstres et de spectres. Cette région attire de nombreux Paladins ainsi que de nombreux nains chercheurs de trésors.
Certains pics rappellent, dit-on, la silhouette de vieilles femmes courbées que les neiges éternelles semblent recouvrir d'un châle blanc c’est de là que vient leur nom.

Le Massif d’Orquemont

Ce massif montagneux se situe à la frontière nord du plus grand duché de Bretonnie : Quenelles. De ces montagnes aux neiges éternelles, prends sa source la célèbre rivière du Gilleau. Les montagnes du massif d’Orquemont sont relativement basses et criblées d’un vaste réseau de cavernes. Celles-ci sont habitées par un grand nombre de peaux-vertes qui organisent de fréquents raids contre les localités des environs.

Les Montagnes d’Irrana

La chaîne des Irranas est, en grande partie, dénudée ; peuplée seulement de bandes itinérantes de brigands et de Gobelins et par un certain nombre de monstres installés. Les populations de Bretonnie et d'Estalie y entretiennent des forteresses pour garder les passes.

Les côtes

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Les côtes bretonniennes sont caractérisées par de nombreuses falaises surmontant de vastes plages de sable doré. Aux abords des deltas, l’approche est moins abrupte. On y trouve un certain nombre de ports relativement sûrs. Les eaux territoriales bretonniennes accueillent de petites îles, dont certaines comptent des villages, voire de petits bourgs. Des villages côtiers sont construits à même la falaise ou le littoral. Des escaliers et même des échelles relient alors les rues parallèles à la pente. Ces villages vivent généralement de la pêche.
On sait cependant que les eaux qui entourent la Bretonnie sont d’une navigation particulièrement difficile. Les courants, les vents et les marées sont très changeants et de nombreux monstres marins occupent les grottes que l’on trouve dans les zones les plus déchiquetées de la côte. C’est ainsi que les épaves sont nombreuses. Cette situation n’est arrangée en rien par les habitants de certains villages qui ont la fâcheuse habitude d’attirer les navires vers les récifs, avant de piller ce qui reste des bateaux. La configuration du littoral rend pratiquement vaine toute tentatives d’amarrage en dehors des grands ports, sachant que les taxes y sont prohibitives. On trouve également de nombreux contrebandiers le long de la côte, qui évitent les droits de mouillage des ports en transportant des marchandises dans des embarcations qu’ils savent où et comment tirer à sec.

Les fleuves

La Bretonnie compte quatre grands fleuves : La Sannez, la Grismerie, le Gilleau et la Brienne.

La Sannez


Le fleuve Sannez coule vers le nord à partir des Sœurs Blanches, grossi par des cours d'eau, eux-mêmes alimentés par les sources de la région. Les célèbres sources chaudes et les eaux minérales, qui font la réputation de Couronne, se joignent à la Sannez et grossissent considérablement sa taille dès la sortie de la ville. C'est, sans nul doute, une sensible contribution à la remarquable fertilité de la vallée. A partir de Couronne et jusqu'à la nier, la Sannez est pleinement accessible aux bateaux qui lui valent un commerce important, même lorsqu'un grand arc de cercle le fait obliquer vers le sud, puis vers l'ouest où il se jette finalement dans la Mer Médiane. De plus, les collines douces qui le bordent fournissent d'importantes cargaisons de vin. Sur la côte, le fleuve traverse le gigantesque port de l’Anguille dont le phare de 500 m de haut est célèbre.
C’est aussi le fleuve le plus rapide de Bretonnie. Etroit et profond sur la plus grande partie de sa longueur, il est connu pour la pureté de son eau. Les courants de la Sannez rendent délicat le contrôle de toute embarcations, sans parler du malheureux qui se retrouve à l’eau et a peu de chances de s’en sortir à la nage. Les poissons carnivores l’ont bien compris et profitent allègrement de tout humain qui passe par-dessus bord. En de nombreux endroit, celui qui a la mauvaise idée de tomber à l’eau a toutes les chances d’être dévoré vivant. Ces poissons carnivores sont cependant très goûteux, et certains marins aiment en mettre plein la vue en attrapant à main nue ceux qu’ils attirent en laissant traîner leur pogne dans le sillage du navire. Gothric, dit Deux-doigts (qu’on appelait encore Trois-Doigts, il n’y a pas si longtemps) est le maître incontesté de cette méthodes de pêche absurde.

La Grismerie


Avec environ 1000km de long, la Grismerie qui tire ses eaux du versant ouest des Montagnes Grises est le plus long fleuve de Bretonnie. A sa source il coule à travers l'extrémité nord de la forêt Loren et beaucoup de Bretonniens le considèrent comme étrangement enchanté. Son cours l'amène directement à travers un grand bassin en direction de la brèche de Gisoreux où il est rejoint par la rivière Oisel et continue vers l'ouest et la mer. Elle est large et son cours lent sur l’essentiel de sa longueur. En amont de l'Oisel, la Grismerie est navigable pour les grandes péniches jusqu'à Parravon mais les bateaux de mer sont limités à la partie située plus en aval et aux affluents de l'Oisel, plus larges et plus profonds. On peut traverser le fleuve par bac à Moussillon mais le seul pont de tout son cours est à Parravon, à l'est de la cité.
La Grismerie voit passer plus de navires et d’embarcations que la plupart des autres cours d’eau, et les auberges sises sur ses bords sont réputées à travers tout le pays. Leur cuisine notamment, est exceptionnelle et le Poisson Tressé, près de Monfort est un établissement connu aussi bien pour sa truite grillée que pour la vue spectaculaire que sa terrasse offre sur le massif montagneux.

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Le seul problème de la Grismerie, c’est qu’elle se jette dans la mer au niveau des marais de Moussillon. En raison des courants faibles, toutes sortes de choses peuvent remonter la rivière à la nage et les attaques de morts-vivants imbibés d’eau ne sont pas rares. Tous les bateaux s’efforcent d’atteindre une auberge avant la tombée de la nuit et les responsables de ses établissements louent les services de gardes pour repousser les assauts éventuels. Cela ajoute une particularité à ces relais fluviaux : leur défense se concentre davantage sur les menaces aquatiques que terrestres.

Le Gilleau

Le Gilleau, qui se jette dans la mer à Bordeleaux, est surtout célèbre pour avoir été le théâtre de la première des grandes batailles de gilles l’Unificateur. Le fleuve tire d’ailleurs son nom de cet événement. Il est aussi connu pour ses Gillites, ces bateliers qui vivent sur leurs embarcations et refusent de mettre pied à terre. Leurs bateaux sont peints de couleurs vives et ils font d’excellents négociants, si bien qu’ils jouissent d’un quasi-monopole du commerce fluvial.
Le fleuve prend sa source dans l’Orquemont et récupère un affluent venu du cœur de la forêt de
Châlons, qu’il longe ensuite sur une bonne partie de sa longueur. C’est pourquoi il est infesté de peaux-vertes et d’hommes-bêtes. Le monopole des Gillites est d’ailleurs en grande partie lié à leur capacité à repousser les assauts de ces créatures.


La Brienne

La Brienne est le fleuve le plus méridional et le fait qu’elle prenne sa source dans la forêt de Loren amène certains Bretonniens à la considérer comme sacrée. Son eau présente une teinte bleue caractéristique et reste étrangement potable d’un bout à l’autre de son cours, même quand elle traverse la ville de Brionne et de Quenelles. Le fleuve prend des proportions considérables à l'intérieur de la forêt où il est alimenté par de nombreux affluents, sources forestières et rivières venant des montagnes Irranas, au sud. Au moment où il atteint la cité de Quenelles il mesure près de 100 mètres de large. Les ponts, dans cette cité, sont constitués par des arches supportées par des piliers qui plongent dans son lit. Quenelles se situe à 1 250 km de la mer mais reste accessible aux bateaux de mer. Toutefois, en amont de Quenelles le fleuve est plus étroit et le transport fluvial est assuré, normalement, par des barges plates. A partir de là et jusqu'à la mer, la Brienne est grossie par de nombreux affluents à tel point que lorsqu'elle se jette dans la mer elle est large de plusieurs centaines de mètres. La cité de Brionne se trouve sur sa rive nord alors que le sud, marécageux est inhabité.
Yorick le Miséricordieux
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Date d'inscription : 19/02/2011

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